Articulations : les super-nutriments qui vous redonnent enfin espoir
Chère
lectrice, cher lecteur,
Je dois vous faire un aveu.
Quand j’ai découvert ces nouvelles études consacrées au traitement des troubles
articulaires, j’ai éprouvé un sentiment terrible. Pendant des années, nous
sommes passés à côté de l’essentiel sans le savoir.
Si autant de personnes se trouvent démunies face à leurs douleurs, c’est parce
qu’on n’aurait pas pris le problème par le bon bout.
La recherche s’est orientée pendant longtemps sur l’étude des cartilages comme
source du problème.
Mais le rôle crucial des tendons n’avait pas été approfondi.
Or vos tendons sont un composant essentiel de vos articulations : ce
sont eux qui lient et stabilisent vos articulations.
Si vous êtes arrivé au point de ne plus pouvoir passer une journée sans
que vos articulations ne se rappellent à votre bon souvenir, j'ai une bonne
nouvelle.
Ci-dessous, vous découvrirez pourquoi agir sur vos tendons peut vous
aider à retrouver une qualité de vie que vous ne pensiez plus possible
depuis longtemps.
Ce sont les
tendons qui tiennent et protègent les articulations
Mettez une main devant vous.
Puis serrez le poing.
Vous venez d’actionner au moins 38 tendons.
Vous comprenez bien avec ce simple exercice que les tendons ont un rôle
essentiel dans le mouvement articulaire.
Chaque mouvement sollicite vos tendons. Et encore, dans ce cas, vous n’avez
fait appel qu’aux tendons de votre main.
Si vous consultez l’article « Tendon » sur Wikipédia,
vous apprenez que les tendons ne servent pas seulement à « tendre »
les muscles aux os pour les faire bouger.
Le premier rôle des tendons cité par Wikipédia
est de tenir les articulations en place :
« Les tendons ont pour fonction de stabiliser par
intermittence des articulations osseuses (tandis que les ligaments
offrent une stabilité permanente) avec l’aide du muscle auquel
ils sont liés [1]. »
Et en effet, c’est évident quand on y réfléchit.
On s’inquiète toujours des frottements entre les cartilages. Mais pourquoi y
a-t-il trop de frottements ? Pourquoi deux os en viennent-ils à racler
l’un contre l’autre et ainsi provoquer des douleurs abominables ?
Parce que l’articulation n’est plus bien tenue. Elle n’est
plus retenue comme il faut par les tendons. Et c’est ainsi que
le cartilage s’use et que les os finissent par se retrouver en contact l’un
avec l’autre.
Cela
fonctionne comme les freins d'un vélo
Votre
cartilage et vos tendons peuvent être comparés aux freins d’un vélo :
Si les câbles ne sont pas bien tendus, vos patins de
frein vont frotter contre la roue et s'user, quoique vous fassiez. Vous aurez beau mettre des patins de
compétition, cela ne changera rien.
C’est pourquoi vous devez vous poser cette question : mes tendons sont-ils
en bonne santé ? Sont-ils assez solides ? Retiennent-ils comme il
faut mes articulations ? Permettent-ils d’éviter les mauvais
frottements du cartilage ?
Notre corps
est bourré de tendons !
Ces
questions sont d’autant plus importantes que nous avons bien plus de
tendons que nous n’en avons en général conscience.
Je vous ai parlé ci-dessus des 38 tendons de la main.
Mais vous avez aussi des tendons pour tenir les articulations de vos bras et de
vos jambes. Des tendons qui tiennent en place vos hanches et vos épaules. Des
tendons dans le cou, dans le dos, les coudes, les genoux, les pieds, les
doigts, les poignets et les orteils… Le tendon d’Achille, que chacun connait,
n’est qu’un seul de vos tendons parmi 4 000 !
Le moindre mouvement de votre part fait appel à des milliers
de tendons qui, pratiquement tous, peuvent se détériorer et ainsi entraîner de
terribles douleurs articulaires au cou, aux épaules, au dos, aux hanches, aux
poignets, aux doigts et, bien sûr, aux genoux.
Il est donc important que chacun d’entre eux soit en pleine forme pour
vous aider à vous déplacer et à poursuivre vos activités (jardinage, cuisine,
marche, etc.).
Le problème, c’est que même en sollicitant « normalement » vos
tendons, ils s’usent avec les années.
Il n’y a pas
que les sportifs qui abîment leurs tendons
La dernière fois que vous avez entendu parler des
tendons, c’est peut-être par votre petit-fils qui a fait une chute à ski ou
devant un événement sportif à la télévision.
Et pourtant, vous n’avez pas besoin de faire du sport de haut niveau pour
abîmer vos tendons.
Le simple fait de vieillir suffit à les user. Les tissus de votre corps se
réparent de moins en moins bien avec l’âge, en particulier pour les femmes
après la ménopause [2]. Vous en voyez l’effet sur la peau, qui n’est pas la
même à 50 ans qu’à 20 ans.
Pour les tendons, c’est un peu la même histoire. Avec les années, ils se
dessèchent [3]. Le manque d’activité les rend rigides et fragiles, car c’est le
mouvement qui suscite leur hydratation. Alors, dès qu’on les sollicite plus que
de coutume, ils font mal. Et malheureusement, quand les tendons sont devenus
rigides, il est très difficile de les assouplir à nouveau.
Les effets
des anti-inflammatoires sur vos tendons
La
tentation, face à la douleur, est de prendre des médicaments antidouleur
(antalgiques), comme le paracétamol, l’aspirine et les
« anti-inflammatoires non stéroïdiens » (AINS).
C’est une option possible à court terme mais, pour les douleurs chroniques, des
alternatives 100% naturelles et sans aucun effet indésirable existent et
peuvent vous préserver sur le long terme.
Rappelons qu’au-delà de 3 grammes par jour sur le long terme, le
paracétamol peut présenter des effets indésirables pour le foie. Il faut bien
en tenir en compte dans le choix des solutions qui s’offrent à vous.
L’aspirine, l’ibuprofène et les autres AINS peuvent entraîner des effets
indésirables fréquents et avérés par les professionnels de santé sur le tube
digestif. Quand ils sont pris de façon continue, ils peuvent provoquer des
saignements dus à des trous dans la paroi de l’estomac et de l’intestin.
C’est une conséquence qui toucherait plus de 20 000 personnes
chaque année, rien qu’en France.
Ces médicaments sont, en outre, particulièrement nuisibles aux
articulations : ils contrarient le renouvellement des cellules du
cartilage et des tendons. Lorsqu’ils sont pris régulièrement ou pendant de
longues périodes, des études suggèrent que ces anti-inflammatoires pourraient
même conduire à une rupture des tendons [4].
Or les pathologies rhumatismales sont des maladies chroniques. Le point crucial
n’est donc pas de vous soulager quelques jours ni quelques semaines, mais de
poursuivre une stratégie thérapeutique de long terme qui
protégera vos articulations dans la durée.
Pour cela, il faut donc renforcer vos tendons. La première mesure à
prendre est d’augmenter vos apports en collagène. Vous allez comprendre
pourquoi.
Le rôle clé
du collagène pour renforcer vos tendons
Le collagène est la protéine la plus abondante du
corps humain. Elle compose la majeure partie des tissus conjonctifs,
c’est-à-dire les tissus qui tiennent nos organes ensemble, dont les tendons.
Mais le collagène est aussi très présent dans le cartilage et les os, à la base
de la structure des articulations.
Les extrémités des tendons, qui en sont les parties les plus solides, peuvent
être composées jusqu’à 99% de collagène.
Quand la quantité ou la qualité de votre collagène est insuffisante, de petites
déchirures peuvent apparaître dans le tendon, ce qui peut l’affaiblir et causer
une douleur. Lorsque ces petites déchirures se produisent au niveau du genou,
de la hanche, des doigts, vous avez l’impression d’avoir « mal aux
articulations ». En réalité, ce sont vos tendons qui vous font
souffrir.
Avec l’âge, ce phénomène s’accentue, car votre corps produit de moins en moins
de collagène. C’est comme cela pour tout le monde. Mais la consommation de
tabac, d’alcool, de café, et aussi le stress, la pollution ou encore la
ménopause épuisent encore davantage vos réserves de collagène.
À 40 ans, le niveau de vos réserves en collagène peut être réduit de 30%.
À 50 ans, de 45%. À 60 ans, de 60%. À ce stade, il est urgent de
réagir en aidant votre corps à reconstituer ses réserves de
collagène.
Il existe plusieurs types de collagène, mais celui qui se trouve dans les
articulations et les tendons est le collagène de type II.
Voici
comment reconstituer vos réserves de collagène
Une manière naturelle et peu coûteuse d’augmenter vos
réserves en collagène consiste à réintégrer dans votre alimentation des plats
gélatineux et à base de cartilage (os à moelle, bouillon, poissons
entiers, tête ou foie de veau, pied de cochon, poule au pot, tripes,
andouillette…). Si vous ne consommez pas ces plats régulièrement, il devient
difficile de maintenir des apports suffisants en collagène.
Toutefois, ces plats traditionnels font de moins en moins partie de nos
habitudes alimentaires régulières et, de fait, nous n’en consommons
certainement plus assez pour reconstituer nos réserves.
C’est pourquoi de nombreuses personnes prennent des suppléments nutritionnels
de collagène, pour compléter leurs apports. Ceux que l’on trouve dans le
commerce proviennent en général de cartilages bovins et de poissons (appelé
« collagène marin »). Ces collagènes d’origine animale sont
intéressants, car ils ont des compositions en acides aminés très proches de
celles des collagènes humains.
Mais le problème est que leur mode de fabrication n’est pas toujours
transparent. De nombreux spécialistes remettent en cause leur traçabilité
(l’origine) et la sécurité des matières utilisées lors des traitements auxquels
ils sont soumis : nettoyage, dégraissage, traitement à l’aide d’acides ou
de bases, extraction par hydrolyse, purification, concentration et
séchage.
Il est donc important de veiller à la qualité du collagène que vous achetez.
Pour cela, il vous faut vérifier sur l’étiquette qu’il s’agit bien de
« collagène natif ».
Le collagène
natif étudié par les plus hautes instances
Le collagène
natif est un collagène non dénaturé ou chimiquement
transformé.
Vous le trouvez sous l’appellation UC II® (Undenatured
Collagen, « collagène non
dénaturé »).
Selon le docteur Trentham, chercheur à l’université
de Harvard et spécialiste du collagène, « pour être efficace, le
collagène de type II doit être sous sa forme native »[5].
Ses propriétés ont été cliniquement testées dans de très nombreuses études, en
particulier à la faculté de Médecine de Harvard sous la direction du Docteur Trentham.
Ces recherches ont porté aussi bien sur des sportifs en bonne santé
présentant des douleurs à l'effort que sur des sujets manifestant différents
types de troubles articulaires.
Leurs résultats très prometteurs encouragent ainsi de plus en plus de
laboratoires à l’intégrer dans leurs formulations pour prendre en charge les
troubles articulaires.
La clé pour
revitaliser vos articulations
Un second
composant essentiel pour soulager vos articulations en profondeur et le Boswellia serrata. Il
s’agit d’un arbre originaire des régions montagneuses de l’Inde et de l’Afrique
du Nord.
Son tronc sécrète une résine qui est utilisée comme puissant
antidouleur et anti-inflammatoire depuis des millénaires
par la médecine traditionnelle ayurvédique indienne. La médecine
traditionnelle chinoise de son côté lui prête encore des vertus pour soulager
les troubles rhumatismaux.
Il est particulièrement efficace et reconnu pour garantir la flexibilité et
la bonne santé de vos articulations.
Les acides boswelliques qui se
trouvent dans la résine du boswellia
assurent 2 rôles fondamentaux dans la préservation de vos
articulations.
Une étude clinique réalisée sur 358 patients souffrant
de troubles articulaires majeurs du genou a montré que le boswellia
permettrait d’améliorer significativement la santé articulaire [6] !
Combiner les
nutriments ciblés pour la santé de vos articulations
Nous l’avons déjà vu, vos articulations sont l’une des
parties les plus sophistiquées de votre anatomie.
Pour renforcer vos articulations, vous devez donc apporter à chacune de ces
composantes les nutriments dont elles ont besoin pour fonctionner normalement
et pour longtemps.
En complément du collagène natif et du boswellia
serrata, la glucosamine et la vitamine C constituent
le cocktail de nutriments surpuissants pour vous aider à préserver la jeunesse
de vos articulations et éloigner les troubles vécus par tant de personnes
après 50 ans.
En effet, un apport de sulfate de glucosamine, une molécule très
spéciale, riche en soufre est particulièrement intéressant en complément du
collagène natif.
Les spécialistes qui siègent à la Ligue européenne contre les rhumatismes
(EULAR) recommandent depuis des années de prendre un complément alimentaire de
glucosamine aux personnes souffrant d’arthrose ou de rhumatismes [7].
La vitamine C, quant à elle, présente un atout méconnu mais tout aussi
essentiel sur vos articulations. D’une part, elle a une action antioxydante, ce qui contribue ainsi à ralentir le
vieillissement cellulaire et donc à préserver entre autres la qualité de vos
articulations.
Mais ce que peu de gens savent, c’est que la vitamine C est un précurseur du
collagène, c’est-à-dire qu’elle participe très activement à sa formation dans
votre corps, de sorte d’accroître son efficacité sur vos articulations.
L’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) reconnaît officiellement
que « la vitamine C contribue à la formation du collagène pour une
fonction normale du cartilage »[8].
Où trouver
ces produits ?
Si vous recherchez des alternatives naturelles pour
conserver ou retrouver votre santé articulaire, vous pouvez utiliser le
collagène UC II®, la glucosamine, le boswellia
et la vitamine C ensemble ou séparément.
Pour la glucosamine seule, il existe des solutions à la dose quotidienne
de 1 000 mg de sulfate de glucosamine. Quant au collagène UC II®
seul, sa fabrication, son stockage et son transport nécessitent des précautions
très strictes pour ne pas le dénaturer, si bien que peu de pharmacies en vendent.
Vous pouvez vous en procurer sur des boutiques en ligne.
Nous vous proposons un produit qui vous apporte simultanément du collagène
natif UC II®, de la glucosamine, du boswellia
serrata et de la vitamine C, dans
une formulation unique disponible
ici. Trois gélules par jour permettent d’ingérer 40 mg de
collagène natif UC II®, 1 100 mg de sulfate de glucosamine, 30
mg de boswellia et 12mg de vitamine C,
ce qui correspond aux recommandations des études de référence.
L’extrait de boswellia sélectionné dans cette
formulation est récolté et produit en Inde. Il s’agit d’un ingrédient breveté
et mondialement reconnu : le Boswellin Super®. Il
est titré entre 75% et 85% en acides boswelliques, dont
30% en AKBA (Acetyl-11-keto-β-Boswellic acid), la substance la plus
active du boswellia. Sa forme unique en
son genre lui permet de mieux libérer ses actifs dans l’organisme pour
une efficacité maximale afin de renforcer durablement vos
articulations,
Et tout ceci, sans le moindre effet indésirable !
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