COCA-COLA, LE MONSANTO DES SODAS
À chaque instant, près de 80 millions de personnes dans le monde ouvrent une
bouteille de Coca-Cola ; chaque jour, la société vend 2 milliards de boissons.
Chacun sait que ce n'est pas bon pour la santé, mais pourtant les ventes de
Coca-Cola ne faiblissent pas. Le géant américain est parvenu à construire un
mythe autour de sa boisson phare en multipliant les mensonges et les
dissimulations. Voici ce que vous devez savoir.
Dès sa création, un gros mensonge
Le Coca-Cola n’est pas, comme on le pense, une invention américaine, mais une
invention française ! Angelo Mariani a commercialisé, 20 ans avant la création
du Coca, un vin tonic, fabriqué selon une recette Corse, en faisant macérer des
noix de cola et des feuilles de coca, dans du vin de Bordeaux.
Son vin tonic français a eu un succès mondial et a été importé aux USA par John
Pemberton
« l’inventeur du Coca-Cola ». Celui-ci a eu l’idée de faire un sirop à base de
feuilles de coca et de noix de cola, à diluer dans de l’eau carbonatée, ou de
l’eau gazeuse. En 1887, il dépose le brevet à son nom propre, sans mentionner
le nom de Mariani. Son Coca-Cola est vendu comme médicament du système nerveux,
et est en outre utilisé pour sevrer les intoxications aux opioïdes (opium).
Cette boisson va contenir de la cocaïne jusqu’en 1903, malgré les dénégations
répétées de la compagnie. La présence de cocaïne avait pour objectif, n'en
doutons pas, d’attirer la clientèle et de la rendre dépendante à cette nouvelle
boisson. Sous la pression, la formule sera progressivement modifiée pour ne
plus contenir que de la caféine (qui reste un agent dopant et entraîne, elle
aussi, l'addiction).
Que cache la formule secrète X7 ?
Le Coca contient également une formule secrète, appelée X7. Tout le monde en a
entendu parler. Mais rien ne filtre sur ses composants. Sachez seulement
qu'actuellement, au port de New Jersey, une compagnie reçoit discrètement de la
Bolivie et du Pérou de grandes quantités de feuilles de coca. Une importation
qui n’est autorisée qu’à l’usage de la pharmacie. Ces feuilles sont traitées
par une usine spécialisée : la Stepan company qui, bien sûr, en extrait la cocaïne pour les
laboratoires pharmaceutiques. Or, cette même compagnie livre à l’usine
Coca-Cola les barils de concentrés de X7, protégés de grilles et marqués
DANGEREUX – CORROSIF, le travail de la maison mère ne consistant qu’à
diluer le « mystérieux concentré » avec de l’eau, et de le conditionner. Pas rassurant...
L'acide phosphorique, une exclusivité Coca
Le Coca-Cola est la seule boisson au monde qui soit acidifiée avec de l’acide
phosphorique. Or, l’acide phosphorique est une substance toxique pour
l’organisme. Elle est responsable d’une acidité très importante de cette
boisson (Ph 2,8). Toutes les boissons synthétiques du monde sont acidifiées
avec de l’acide citrique, non toxique, qui n’est rien d’autre que l’acide du
citron.
Voici la liste des symptômes générés par l’acide phosphorique :
Pour résumer, les gens deviennent : peureux, distraits, lents et instables.
Tous ces signes sont de plus en plus visibles, chez une majeure partie de la
population mondiale. N’oublions pas que le Coca est distribué dans le monde
entier. Cette simple boisson constituerait un moyen idéal de modifier le
psychisme de la population mondiale, non ?
Un colorant caramel dont les Américains eux-mêmes se méfient
C’est le E150 B chimique qui donne la couleur caractéristique au Coca-Cola. On
obtient la couleur caramel à partir du sucre (encore lui) que l’on traite à
l’ammoniaque puis avec divers acides sous haute pression. Ces opérations peu
sympathiques génèrent de nouvelles molécules dont l’une s’appelle la 4MI qui a
été démontrée cancérigène chez les animaux… Le scientifique américain Mike
Jacobson dit que pour l’homme, cette molécule génèrerait plutôt des leucémies.
Prendre ce risque, juste pour un colorant, ne parait-il pas déraisonnable
?
En Californie, ce colorant est très controversé, aussi cet état a obligé Coca-Cola
et Pepsi-Cola à en réduire le dosage à 29 microgrammes par litre. En France, on
tolère sans état d’âme 79 microgrammes. Dans le Coca light la limite du
colorant est multipliée par 3.
Quant au sucre, on atteint des records de toxicité
Chacun sait que le Coca-Cola, c'est surtout du sucre. Selon un spécialiste
mondial de l’obésité, chaque cannette métallique de coca cola contient 39 g de
sucre, ce qui équivaut à 10 cuillères à café bombées. Je vous conseille de
faire l’expérience de mettre 10 cuillères à café bombées de sucre dans une
assiette pour vous rendre compte. Pauvre pancréas !!!
Le sucre est classé drogue douce ; mais il n’en crée pas moins une addiction.
En particulier, il affecte une zone de récompense du cerveau, la même zone que
pour la cocaïne, la nicotine, les amphétamines, l’héroïne, la morphine. Plus on
en consomme, et plus la dopamine du cerveau en redemande pour obtenir le même
bien-être ; cette escalade est bien sûr suivie d’une lente descente aux enfers…
Sur les enfants, c’est un désastre. Dans les cliniques pour obèses, on trouve
des enfants de 8 à 10 ans avec des taux de lipides à la hauteur de ceux de
sexagénaires. Ces enfants sont atteints de maladies de la gérontologie et
présentent déjà du diabète type 2.
À l’ile Maurice, que je connais bien, 70 % des autochtones sont diabétiques. La
raison en est simple, ils grignotent toute la journée des sucreries et
consomment des boissons sucrées (sodas, coca-cola….) pendant et en dehors des
repas. Dans les hôpitaux, on ne cesse de couper des doigts et des orteils
atteints de gangrène, sans parler des cas de cécité partielle ou totale se
développant avec l’âge.
Ne croyez pas qu'il y a une échappatoire avec la solution "Light"
(sans sucre). Là, c’est tomber de Charybde en Scylla, car l’indispensable
édulcorant qui a été sélectionné pour compenser l’amertume, c’est l’ASPARTAME
(lisez nos articles précédents sur cette dangereuse excitotoxine).
Quant au Coca zéro, il a été lancé avec l'argument suivant : il y avait du
sucre dans le coca light, et dans le coca zéro, il n’y en a plus du tout. Or,
si l’on regarde les étiquettes, la seule petite différence c’est la présence de
citrate de sodium dans le zéro, qui va permettre d’absorber plus de sodium, et
donc de retenir plus d’eau dans l’organisme, et d’amplifier la sensation de
soif. Dans les faits, le Coca Light était consommé par les femmes, et on a fait
le Coca zéro pour les hommes, plus masculin avec son étiquette noire.
Mais les consommateurs sont persuadés que le zéro est mieux que le light.
Quant au Coca à la Stévia, cela reste une vente
marginale surtout destinée à montrer que Coca fait des efforts pour que ses
produits soient moins nocifs.
Un petit restaurant charmant devenu empoisonneur public sans le
savoir
Dans l'île ou j'habite, il m’arrive régulièrement d’aller manger dans un petit
restaurant tenu par un ami. Lorsque je regarde les boissons sur les tablées, je
vois en gros 80 % de coca, 20 % de bières… et moi avec mon verre de vin rouge.
Pauvres gens qui se construisent un avenir bien sombre par leur insouciante
addiction. Et pauvre restaurateur qui n'a d'autre choix que de leur servir ce
qu'ils demandent.
Michel Dogna