Chère lectrice, cher
lecteur,
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de décréter que la viande
transformée (saucisses, jambons, nuggets, etc.) était « cancérigène »
… Il était temps !
Les vénérables membres de cette organisation devaient faire la sieste
jusqu’alors, car on ne peut pas dire que ce soit une nouvelle très fraîche.
Dès 2010, une équipe de chercheurs de l’INRA de Toulouse avait mis en
évidence les mécanismes biologiques expliquant pourquoi les personnes qui
mangent le plus de charcuteries ont davantage de cancers que les autres. En
cause, les fameux conservateurs « nitrate de sodium (E251) » et
« nitrite de sodium (E205) ».
Mais en compensation, l’OMS a ajouté un petit bonus à son verdict, accusant
cette fois la viande rouge d’être « probablement cancérigène ». Et ce
alors même que 800 études sur le sujet n’avaient pas permis d’établir de
lien entre cancer et viande rouge.
Pourquoi ?
La nouvelle édition d’Alternatif Bien-Être dévoile
une nouvelle pratique des industriels,
mais aussi hélas de certains petits bouchers de quartier, qui expliquerait
cette alerte sérieuse sur la viande rouge.
Heureusement, si vous n’êtes pas végétarien, il est possible de compenser ce
risque en consommant la viande avec d’autres aliments, notamment des végétaux,
afin de ralentir la formation de composés toxiques. Nous vous expliquons
pourquoi.
Surtout, vous découvrirez que le vrai problème de la viande rouge
se situe là où on ne l’attend pas vraiment, du côté des « molécules de
Maillard » qui se forment lorsque la viande est cuite improprement.
Alternatif Bien-Être vous
donne trois méthodes pour éviter la
production de ces molécules dont le danger est, lui, largement
documenté.
Également à la une de ce numéro d’Alternatif Bien-Être :
« On se tape déjà les
règles toute notre vie, et pour finir en beauté, c’est la ménopause… Quelle
injustice !!! »
Voilà un témoignage que j’ai relevé sur Internet.
Direct, peut-être, mais qui traduit la double injustice que les femmes peuvent
ressentir quand arrive la ménopause.
Non seulement la ménopause signifie la fin de la fertilité, mais la chute des
hormones féminines liée à l’arrêt du fonctionnement des ovaires entraîne en
effet des troubles multiples.
Ce qui attend les femmes durant cette « transition », ce sont des
nuits sans sommeil, trempées par les bouffées de chaleur. Dans la journée, il
faut supporter la honte d’une sudation excessive, d’odeurs corporelles
dérangeantes.
Les autres ne le voient pas toujours, heureusement. Mais vous, vous savez. Et
c’est assez pour en souffrir.
La ménopause, c’est aussi le regard de son mari qui change, parce que vous
prenez du poids ; à la maison, les prises de bec à répétition parce que
vous êtes vidée de votre énergie, à plat, déprimée.
La ménopause n’est peut-être pas une maladie mais qu’importe, c’est un
tourbillon, un abîme, un tunnel de souffrances que la médecine doit accompagner.
Hélas, certains traitements ont des conséquences qui font froid dans le dos,
alors qu’il existe des solutions naturelles pour soulager les symptômes.
Vous allez découvrir dans ce
nouveau numéro d’Alternatif Bien-Être que
les premiers traitements hormonaux utilisaient des œstrogènes conjugués
équins (ECE), obtenus à partir d'urine de juments en
cours de gestation !!!
Ces œstrogènes furent ensuite couplés à des hormones de synthèse.
Les ventes de ces traitements décollèrent jusqu’à ce qu’on découvre leurs effets
à long terme. La prise d’œstrogènes synthétiques est
associée à :
On sait depuis que si ces
molécules étaient si nocives, c'est parce qu’elles étaient synthétiques et non
pas parce qu'il s'agissait d'hormones [1] ! Mais le mal était fait pour
leur réputation.
Alors, que faire pour soulager les troubles de
la ménopause ?
Faut-il fuir tous les
traitements hormonaux substitutifs ? Existe-t-il des solutions naturelles
pour mieux vivre sa ménopause ?
Le numéro de mars d’Alternatif Bien-Être vous
fait découvrir les résultats des travaux les plus récents sur le traitement de
la ménopause. Toutes les solutions y sont abordées sans concession ni a priori,
à la seule lumière des résultats obtenus pour soulager les
symptômes.
Première leçon à retenir dès maintenant, si un traitement hormonal est
envisagé, il est impératif qu’il soit naturel (pas d’hormones
synthétiques !).
Vous verrez également pourquoi la prise orale est à proscrire, en
particulier à cause de ses effets désastreux sur le système veineux (risques cardiovasculaires graves).
Le risque est multiplié par deux avec les œstrogènes oraux par rapport au
traitement cutané, et il est maximum lors de la première année. La
progestérone, quant à elle, nécessite, vous le verrez, une prise bien
particulière.
Plutôt que d’opter pour des hormones
produites en laboratoire, certaines femmes préfèrent se tourner vers
l’hormonothérapie végétale (phyto-œstrogènes) pour tenter de soulager leurs
symptômes.
Ces composés proches des hormones féminines sont produits par certaines
plantes. Parmi eux, les isoflavones du soja ont
fait l'objet de l'attention la plus soutenue.
Vous découvrirez qu’un régime alimentaire enrichi en soja et en graines de lin
permet effectivement une réduction
des bouffées de chaleur.
Au passage, le dossier d’Alternatif Bien-Être revient
sur le lien souvent évoqué entre consommation de soja et cancer du sein. Vous
saurez exactement ce qu’en disent les
études scientifiques récentes, et ce que vous devez en conclure pour vous.
Pour soulager les symptômes de la ménopause, c’est surtout la vitamine B9 qui affiche les résultats
les plus prometteurs. Elle permet de faire disparaître les
bouffées de chaleur chez 40 % des femmes. Attention à privilégier là
encore la forme naturelle plutôt que synthétique (acide folique). Tous les
détails pratiques sont bien sûr dans le dossier.
Bonne nouvelle également si vous aimez le jus
de tomates !
Ces fruits contiennent des molécules intéressantes comme le lycopène, dont
l’élévation du taux dans le sang se traduit par une diminution du stress
oxydatif et du phénomène de résorption osseuse : la tomate pourrait donc
contribuer aussi à lutter contre l'ostéoporose,
laquelle concerne de nombreuses femmes ménopausées.
Autre problème associé à la ménopause,
la prise de poids, avec un lien
mis en évidence par les chercheurs entre le surpoids et les bouffées de
chaleur.
Dans ce dossier d’Alternatif Bien-Être, vous
allez découvrir comment un protocole à base de
mélatonine (l’hormone du sommeil) a permis de réduire très
significativement la masse grasse de femmes ménopausées, cela sans
changer de régime alimentaire.
Et vous allez voir que cette supplémentation a aussi déclenché d’autres
améliorations… étonnantes.
L’explication détaillée, la posologie, et la durée de la supplémentation se
trouvent dans l’article.
Bien sûr, ce dossier a été réalisé en ligne directe avec les chercheurs les
plus en pointe sur le sujet, mais je pense qu’il est aussi l’occasion d’une
réflexion sur ce « bouleversement de vie » qui affecte toutes les
femmes.
En médecine chinoise, l’introspection thérapeutique est
un passage indispensable vers le bien-être ou la guérison. De la même façon,
chaque femme vivra sa ménopause différemment et c’est donc à elle qu’il
appartient de chercher, et espérons-le de trouver, l’équilibre des soins qui
l’aident au mieux dans cette étape.
Ce dossier d’Alternatif Bien-Être servira
de base arrière, de refuge, tout au long de ce chemin de santé et de
découverte.
Voici également une autre enquête que vous découvrirez dans ce numéro de mars :
Un bébé qui doit suivre un
traitement par antibiotiques avant l’âge de 5 mois voit son risque
d’obésité à l’âge adulte augmenté de 19 %. Et s’il en prend au moins
4 fois avant d’avoir atteint 2 ans, son risque d’obésité est majoré
de 29 % [2].
Une autre étude a également montré que les antibiotiques entrainaient des effets secondaires pendant un an (en
particulier sur notre flore intestinale).
Notre article vous dit dans quel cas seulement il faut prendre
des antibiotiques, et le renfort indispensable en complément du traitement
(produits fermentés comme le kéfir, le yaourt ou la choucroute etc.).
Nous vous faisons enfin découvrir les 6 symbiotiques les plus
efficaces pour renforcer votre flore.
Ce numéro de mars d’Alternatif Bien-Être est
une véritable mine d’informations et de solutions naturelles pour une bonne
santé, toutes validées par la recherche scientifique la plus récente :
Et aussi dans ce numéro d’Alternatif Bien-Être :
Rendez-vous ici pour en
savoir plus sur Alternatif Bien-Être et demander votre exemplaire.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis