Cancer : un traitement simple et non toxique
Chère lectrice, cher lecteur,
Le Dr Laurent Schwartz, cancérologue et chercheur à l’Ecole Polytechnique,
sort un nouveau livre intitulé « Cancer, un traitement simple et non
toxique ».
Ce livre n’est pas encore en librairie. Mais l’éditeur me l’a envoyé pour que
je puisse en prendre connaissance au plus tôt, et vous en faire part.
En effet, le traitement du cancer est souvent une question de semaines,
ou de jours : 50 % des personnes frappées par le cancer du
poumon, du pancréas, du foie ou du rein meurent dans les six mois.
D’où l’urgence de vous parler des révélations sensationnelles de ce nouveau
livre.
Elles peuvent sauver des vies.
Il s’agit d’une nouvelle approche qui pourrait révolutionner le traitement du
cancer.
Soigner le
cancer grâce à l’effet Warburg
L’effet Warburg, du nom du prix Nobel de médecine Otto
Warburg (1931) est un phénomène bien connu des médecins.
C’est le fait que les cellules cancéreuses fermentent pour produire de
l’énergie.
Le fonctionnement normal des cellules saines est de brûler le glucose avec de
l’oxygène. Mais les cellules cancéreuses font fermenter le glucose, ce qui
était le mode de fonctionnement de la vie primitive, il y a 3,5 milliards
d’années.
L’avantage de la fermentation est qu’elle est possible sans oxygène.
L’inconvénient est que la fermentation produit peu d’énergie, par unité de
carburant consommée.
Les cellules cancéreuses sont donc très gourmandes en glucose, ce qui permet de
les repérer. C’est ce qu’on appelle l’effet Warburg.
Affamer le
cancer en le privant de sucre
L’effet Warburg est utilisé pour repérer les tumeurs,
avec la technologie du « PET-scan ». On injecte au patient du glucose
radioactif et l’on observe les endroits où celui-ci va se concentrer :
c’est là que se trouve le cancer.
D’où l’idée d’affamer le cancer en cessant de manger du sucre, ou
tout produit se transformant en sucre.
Le Dr Laurent Schwartz recommande un régime « cétogène »,
c’est-à-dire constitué de produits gras et de quelques protéines, mais très peu
de glucides (sucres).
« Le régime cétogène se révèle une solution thérapeutique sérieuse et
encourageante », estime-t-il [1].
Mais cela n’a rien de révolutionnaire. La grande nouveauté vient maintenant…
Lutter
contre l’acidité provoquée par la tumeur
Le Dr Laurent Schwartz a aussi observé que la
fermentation provoque une acidification des tissus autour de la tumeur.
Il explique que cette acidification permet aux cellules cancéreuses de mieux
« lacérer » les tissus environnants, pour les envahir.
En revanche, pour acidifier son environnement, la tumeur, elle, doit perdre son
acidité et devenir basique.
C’est d’ailleurs le fait d’être basiques qui permet aux cellules tumorales
(cancéreuses) de se multiplier si rapidement.
Cette constatation toute simple est à l’origine d’une idée toute simple elle
aussi, mais qui pourrait être la clé pour vaincre le cancer : diminuer
l’acidité autour de la tumeur pour bloquer la multiplication des cellules
cancéreuses.
Et de fait, le Dr Schwartz rapporte que des chercheurs ont essayé de
diminuer l’acidité autour des tumeurs, et ils ont constaté une régression
des cancers.
C’est une nouvelle fantastique. Car il se trouve que l’on dispose de plusieurs
médicaments bien connus et peu coûteux pour lutter contre l’acidité, des
médicaments simples, bon marché, peu dangereux.
Une équipe de chercheurs espagnols qui a travaillé sur ce sujet rapporte
plusieurs cas de rémissions inattendues en donnant aux patients cancéreux un
cocktail de médicaments anti-acides, très peu toxiques par rapport aux
chimiothérapies « normales ».
Le Dr Laurent Schwartz donne la posologie, qui est la suivante (il ne l’a
pas testée lui-même mais considère que c’est une « approche logique et
porteuse d’espoir ») :
Mais après avoir bloqué la reproduction des cellules
cancéreuses, peut-on faire en sorte qu’elles redeviennent saines et ainsi se
débarrasser vraiment de la maladie ?
Oui, répond le Dr Schwartz.
Grâce à la stratégie suivante…
Redémarrer
le fonctionnement (métabolisme) normal des cellules
Pour traiter
le cancer, le Dr Schwartz recommande un traitement qui permette de redémarrer
la combustion normale du glucose dans les cellules, et ainsi mettre fin
à la fermentation et à l’acidification des tissus autour de la tumeur.
Pour cela, il faut « remettre en route » les mitochondries, les
petites usines à brûler le glucose qui sont dans les cellules.
Cette fois, le Dr Laurent Schwartz a lui-même sélectionné les médicaments
capables de faire cela, et il a lui-même observé des rémissions chez plusieurs
de ses patients, cancéreux de longue date.
Dans son protocole, la posologie est la suivante :
L’hydroxycitrate est en vente libre, considéré comme
« complément alimentaire ». L’acide lipoïque en intraveineuse est un
médicament. Il est vendu en Allemagne et en Amérique du Nord mais pas en
France. Mais il a été prescrit à des centaines de milliers de patients sans
causer de problèmes.
Ces produits ne présentent aucun danger, et tout médecin doit pouvoir les
prescrire à son patient.
« Ce traitement n’a pas d’effet secondaire
toxique lourd », explique le Dr Laurent Schwartz.
« Près
de 2 ans ½ plus tard, sur les onze premiers patients, cinq sont encore en
vie. C’est un exploit si l’on considère que tous avaient été renvoyés à leur
domicile pour y mourir ! [2] »
Renforcer
les effets par d’autres médicaments
Le Dr Schwartz souligne toutefois que ces deux
substances ne suffisent pas en elles-mêmes et sont plus efficaces si elles sont
prises en combinaison avec une radiothérapie et une chimiothérapie.
Il signale en outre avoir obtenu de meilleurs résultats encore en y associant
de la metformine à forte dose (jusqu’à 3 g par jour).
La metformine est le traitement de base contre le diabète de type 2.
Votre pharmacie en vend tous les jours et n’importe quel médecin peut la
prescrire.
La guérison
à portée de la main
La conclusion du Dr Laurent Schwartz est que nous
sommes en train de faire une erreur monumentale en allant vers des traitements
toujours plus compliqués et coûteux du cancer (plus de 100 000
euros par cycle de traitement).
Ses décennies d’études l’ont convaincu au contraire que le cancer est une
maladie simple.
Ce sont les cellules qui fonctionnent mal, et il existe des mesures simples et
peu coûteuses, ainsi que des médicaments courants et non toxiques qui
permettent de faire beaucoup pour les malades.
Il pense donc que « nous pouvons proposer aux malades de nouvelles
avancées thérapeutiques, dont l’efficacité pourrait être supérieure à celle de
la chimiothérapie tout en entraînant bien moins d’effets secondaires.
[3] »
Ses pistes de traitement sont d’autant plus intéressantes qu’il estime qu’elles
permettraient également de soigner l’Alzheimer et Parkinson.
Il s’agit donc d’une possible révolution médicale qui est en train de se
produire sous nos yeux.
Ce que vous
pouvez faire
Je suis
conscient que, même si vous êtes vous-même actuellement traité contre le
cancer, cette simple lettre vous paraîtra insuffisante pour démarrer un
traitement alternatif. Elle sera en outre complètement insuffisante pour
convaincre votre oncologue (cancérologue) et même votre médecin traitant de
l’intérêt de ces avancées.
Mais ne désespérez pas.
Attendez simplement quelques jours, si vous le pouvez, que le livre soit sorti
en librairie.
Vous aurez tous les éléments en main. Vous pourrez le donner à votre médecin
s’il a le moindre doute sur la véracité et le sérieux de ces nouveaux
traitements contre le cancer qui, je le répète, sont simples, non toxiques et
peu coûteux.
Voici la couverture du livre, afin que vous ne perdiez pas de temps pour le
trouver :
En attendant, je vous redis combien je compatis avec vous si vous êtes en train
de combattre une grave maladie. Surtout, ne baissez pas les bras, continuez à
vous soigner et à rester en alerte sur les progrès des traitements.
Nous sommes dans une période de grands bouleversements, dans le mauvais sens
parfois (malheureusement !) mais aussi, il ne faut pas l’oublier, dans le
bon sens.
Ce livre est peut-être un bon exemple de ces progrès qui se produisent parfois
et qui peuvent aider des millions de personnes.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis