Ce qu'on ne dit jamais aux femmes 

Chère lectrice, cher lecteur,

Je m'adresse aujourd'hui à mes fidèles lectrices.

Lisez et relisez ce message, partagez-le à vos mères, vos filles, vos nièces, à vos amies. 

La conspiration contre les femmes doit cesser. Elles ont le droit de connaître la vérité. 

Depuis 50 ans, on bourre les femmes d’hormones !

Tout ça bien sûr au nom du « progrès ».

Mais où sont les progrès réels pour leur bien-être ?

Seins gonflés et douloureux, ventre tendu, idées noires, règles douloureuses ou hémorragiques, fibromes, endométrioses, migraines, anémies, problèmes circulatoires, ostéoporose après la ménopause, embolie, cancer du sein, dépression : sur tous les fronts, c’est l’épidémie.

Chacun vit ou connaît dans son entourage proche des histoires inquiétantes.

Non aux médicaments « lance-roquettes »

Les problèmes liés aux cycles féminins sont toujours des problèmes d’équilibre subtil.

Des hormones soufflent le « chaud » et le « froid », « l’humide » et « le sec », le « plein » et le « vide », comme le Yin et le Yang de la médecine chinoise.

On ne peut pas les guérir avec des médicaments « lance-roquettes » !

Il faut agir avec précaution. Tout est question de dosage. Chaque femme a son tempérament propre qu’il faut à tout prix respecter.

Comment les solutions naturelles ont été rayées de la carte

La plupart des femmes connaissaient autrefois des « trucs de santé » féminine qu’elles se transmettaient de mère en fille.

Il y avait des plantes, des tisanes, des cataplasmes, des onguents, des inhalations, des huiles essentielles : gattilier, sauge, persil, hamamélis et houblon pour les plus connues.

Bien sûr, cela n’arrangeait pas le lobby pharmaceutique, qui a voulu à tout prix dans les années 70 imposer « ses » solutions chimiques et remboursées par la Sécu.

Une lutte à mort s’est engagée contre les plantes et toutes les traditions, locales ou universelles, qui permettaient aux femmes de jouir pleinement de leur féminité.

C’est ainsi qu’ont disparu d’abord des pharmacies, puis aujourd’hui des mémoires, les remèdes à base de plantes autrefois jugés indispensables aux femmes.

Je vous donne un exemple, courant autrefois dans les herboristeries :

Connaissez-vous cette plante ?

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Non ?


Elle était pourtant connue depuis les Amérindiens contre les douleurs menstruelles, qui l’ont transmise aux Européens il y a cinq siècles !!

Les Allemands découvrirent ses vertus vers la fin du XIXe siècle.

Au milieu du XXe siècle, ils commencèrent à utiliser un extrait standardisé de cette plante comme solution de rechange à l'hormonothérapie de remplacement chez les femmes ménopausées.

Les Américains la connaissaient tous également.

On en faisait un remède populaire appelé « Lydia Pinkham’s Vegetable Compound » utilisé en gynécologie et pour soulager le stress menstruel et la tension nerveuse.

Depuis les années 1970, cette plante a été victime comme beaucoup d’autres plantes, de multiples campagnes de dénigrement visant à persuader la population que ce remède de grand-mère est inefficace et peut même être dangereux ! Et ça a fonctionné…

Mais dans le secret des laboratoires, certains chercheurs résistants ont continué les études. Et le mur du mensonge et de la désinformation médicale est en train de se fissurer :

Leurs récentes études montrent que 1 à 2 comprimés d’extrait normalisé de cette plante (équivalent à de 1 mg à 2 mg de déoxyactéine), 2 fois par jour permettent de réduire considérablement les symptômes de la ménopause.

Comparée à des traitements classiques, cette plante s’est révélée plus efficace que la Tibolone (traitement médicamenteux « classique » de la ménopause) et que les traitements hormonaux. Elle s’est aussi montrée plus efficace que la fluoxétine (un médicament antidépresseur souvent prescrit lui-aussi contre les fluctuations de moral à la ménopause).

Mais ce n’est pas tout :

On sait que les femmes ayant été traitées pour le cancer du sein souffrent souvent de bouffées de chaleur similaires à celles qui se manifestent à la ménopause. Eh bien, deux études ont observé une réduction des bouffées de chaleur et de leur intensité suite à un traitement toujours à base de cette même plante.

Et vous pouvez la combiner avec le millepertuis : elle est alors encore plus efficace contre les troubles de l’humeur associés à la ménopause (dépression, anxiété). Trois études indépendantes sur l’efficacité d’un tel mélange ont permis de mesurer une réduction significative des symptômes de la ménopause.

A ce stade, peut-être aimeriez-vous que je vous donne, ou que je vous confirme, le nom de cette plante que vous avez peut-être déjà deviné.

Mais ce n’est pas le but de mon message.

Le but de mon message est de sensibiliser la population sur l’existence de ces plantes qui soignent, et la nécessité absolue de se prendre en main pour, enfin, se former, s’informer, et mettre en pratique l’usage des plantes dans sa vie et celle des autres.

Pour cela, j’ai décidé de diffuser une offre exceptionnelle de découverte du journal Plantes & Bien-Être, en vous offrant un numéro spécial où vous trouverez le nom de cette plante EXCEPTIONNELLE, en page 13.

Mais le but est de vous permettre de découvrir toute la richesse exceptionnelle de ce journal, qui traite de l’ensemble des problèmes de santé, et de tous les traitements à base de plantes :

Règles douloureuses : stop à ce cauchemar qui revient douze fois par an

Chez de nombreuses jeunes femmes, les règles se transforment en un cauchemar douze fois par an

La douleur est telle que des prises répétées de paracétamol les soulagent à peine. Elles ont fini par considérer cette torture comme inévitable et normale, et la souffrance, comme un fardeau naturel.

Or, ces femmes se trompent sur tous les plans : des règles excessivement douloureuses, ça n’est ni normal, ni naturel

Mais surtout, elles peuvent faire quelque chose

Dans plus d’un cas sur deux, des règles douloureuses (« dysménorrhées ») sont en réalité le symptôme d’une endométriose : la muqueuse utérine « colonise » d’autres parties de l’organisme, les ovaires et/ou les trompes de Fallope… et n’est pas évacuée par les règles. 

Les causes de l’endométriose sont actuellement toujours débattues par les chercheurs. Mais ses dommages, eux, sont désormais connus. Outre l’inflammation chronique qu’elle occasionne durant les règles, l’endométriose gâche la vie sexuelle de celles qui en souffrent, les rapports étant souvent douloureux. 

Cette maladie gynécologique gagne du terrain de façon inquiétante : plus d’une femme sur dix en souffre… La plupart des médecins estiment ce chiffre sous-évalué.

Mais le plus inquiétant est le délai moyen entre le début de la maladie, et son diagnostic : 7 ans !!! Or, souvent, il est déjà trop tard.

Pendant tout ce temps, l’endométriose a eu le temps de faire des dégâts. Parmi les plus courants : la formation de kystes, et la stérilité, pour près d’une patiente sur deux. 

Ces femmes ne peuvent plus choisir de faire des enfants, parce qu’elles n’ont pas été diagnostiquées à temps.

6 axes stratégiques pour lutter contre l’endométriose

Les causes de l’endométriose sont actuellement toujours débattues par les chercheurs. Ça ne veut pourtant pas dire que l’on ne peut rien faire.

C’est un sujet grave, dont commencent à s’emparer les autorités publiques : le mois dernier, une campagne d’information dans les établissements scolaires a été annoncée. 

C’est nécessaire. Mais, hélas, pas suffisant. 

La mission d’un journal comme Plantes & Bien-Être est de vous apporter des solutions naturelles, par les plantes, sous toutes leurs formes, et ce quelle que soit la gravité des maux. 

Vous découvrirez dans ce numéro qu’il existe des solutions naturelles pour lutter contre l’endométriose. Nous avons identifié 6 mesures à prendre pour vous soigner, à découvrir dans ce numéro de Plantes & Bien-Être : 

Ce dossier vous aidera à bâtir un protocole thérapeutique à base de plantes et, vous fournit un guide précis des produits à employer. 

Egalement au sommaire de Plantes & Bien-Être : comment se débarrasser des rougeurs de peau ?


La peau rouge ? Ne vous cachez plus !

A moins que votre grand hobby soit de jouer aux cowboys et aux Indiens, arborer une peau rouge peut plutôt contraindre de jouer… à cache-cache

Qu’elles soient permanentes, comme la couperose, ou localisées et chroniques, comme l’eczéma ou le psoriasis, les rougeurs de la peau sont généralement bénignes : elles ne mettent pas en danger votre santé, mais peuvent sournoisement handicaper la vie sociale.

Eh bien, ne vous cachez plus : le Dr Franck Gigon explique dans ce numéro de Plantes & Bien-Être pourquoi la peau rougit… et pourquoi les plantes offrent les meilleurs remèdes naturels contre ces phénomènes :

Le Dr Gigon explique avec beaucoup de pédagogie les heureux mécanismes à l’œuvre pour chacune de ces plantes, mais si vous avez peur d’être perdu(e), pas de panique : un tableau regroupe les 10 plantes utiles contre la peau rouge, vous permettant de voir en un coup d’œil l’indication pour chacune d’elles, sa forme, la posologie et les précautions à respecter (par exemple les plantes qu’il vaut mieux éviter de prendre en soirée, celles qu’il faut oublier si vous êtes sous anticoagulants, celles à impérativement acheter bio). 

Huiles essentielles : le prix à payer

Les huiles essentielles occupent une place de choix au sommaire de chaque numéro de Plantes & Bien-Êtremais de plus en plus de questions me parviennent par courrier :

« Il y a trop de choix dans les magasins bio ! Que choisir ? » 

« Les huiles essentielles, c’est bien joli, mais la plupart sont contre-indiquées pour les femmes enceintes et les enfants ! Que faire ??! »

Ce numéro va vous permettre d’avoir une véritable bible pratique à garder précieusement, et à utiliser pour répondre à ces deux questions.

D’une part, une explication du principe du rendement des huiles essentielles va vous apprendre pourquoi certaines huiles essentielles trop bon marché sont des arnaques

Un tableau détaillé du rendement en gramme pour chaque ingrédient vous fera comprendre d’une façon très simple pourquoi une bonne huile essentielle de Mélisse officinale est nécessairement chère, alors qu’une bonne huile essentielle d’Angélique ou de Camomille romaine sera toujours bon marché.

En tout, ce sont plus de 50 huiles essentielles qui sont classées dans ce numéro en quatre catégories, d’« abordables » à « très chères » : un tableau à toujours avoir avec vous lors de vos achats. 

D’autre part, la naturopathe Annie Casamayou consacre un grand dossier aux hydrolats, une alternative redoutable d’efficacité aux huiles essentielles, pour celles et ceux qui ne supportent pas ces dernières. Ils ont en effet trois bénéfices majeurs : 

Et, surtout, ils sont polyvalents ! Purs, dilués, vaporisés, sur la peau, dans les cheveux, dans vos plats ou dans vos bains de pieds, ils sont aussi bons pour calmer les coups de soleil que pour favoriser le sommeil ou lutter contre le stress.

Cependant, tout comme les huiles essentielles, il y a des erreurs à ne pas commettre à l’achat : nous vous indiquons précisément les informations à trouver sur les étiquettes (partie de la plante extraite, provenance, etc.) pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Comment conserver les hydrolats, comment débuter dans leur emploi, quelle dose consommer selon votre tranche d’âge, lequel choisir en cas de maux de tête, d’anxiété, de nausées, etc., tout, tout, tout, vous saurez tout sur les hydrolats.

Ce numéro de Plantes & Bien-Être vous livre d’autres informations précises, et précieuses :

Ce numéro spécial vous est aujourd’hui OFFERT EN CADEAU pour tout abonnement d’essai à Plantes & Bien-Être.

Médecine des plantes : dans le viseur des autorités

Les plantes médicinales officiellement répertoriées n’ont jamais été aussi nombreuses : le centre de recherche botanique des Kew Gardens (un des plus grands au monde, à Londres) en dénombre exactement 10 377 nouvelles cette année !

Et pourtant, en tant que patient, vous continuez d’être privé de la plupart des bienfaits de ces plantes.

Alors que la connaissance des plantes progresse chez les scientifiques, les autorités de santé continuent d’entraver leur diffusion.

Pendant ce temps, on continue d’inciter à la prescription systématique de médicaments sans proposer aux patients des alternatives naturelles à base de plantes. En France, la consommation de médicaments a été multipliée par 350 depuis 1950 [1] !

C’est pourquoi devant une telle absurdité et une telle manipulation des patients, nous avons décidé de réagir.

Et c'est pour diffuser les connaissances sur les plantes médicinales et permettre à chacun de reprendre sa santé en main que nous avons créé la publication Plantes & Bien-Être.

La meilleure équipe d’experts des plantes

Pour réussir cet ambitieux projet, nous sommes allés chercher les meilleurs spécialistes des plantes médicinales. Nous les avons convaincus de nous rejoindre et de partager leurs précieuses connaissances avec les lecteurs de Plantes & Bien-Être.

Et ça n’a pas été facile.

Les connaisseurs des plantes sont de plus en plus rares. Ils n’osent pas toujours prendre la parole en public, de peur des représailles des Autorités de Santé.

Pour les trouver, il faut avoir ses entrées, il faut savoir gagner leur confiance.

C’est le pari qu’a réussi Alessandra Moro-Burozon, la rédactrice en chef de Plantes & Bien-Être. Elle a sélectionné les meilleurs experts pour constituer le comité de rédaction :

Le Docteur Franck Gigon ex chargé de cours au diplôme universitaire de phytoaromathérapie de Paris XIII, est spécialiste des plantes, de l'aromathérapie, conférencier et auteur de nombreux livres de référence dont « Se soigner par les plantes pour les Nuls » et « La vérité sur les plantes qui soignent » 

 


Le Dr Danielle Roux, pharmacien, scientifique et rédactrice en chef de la « Revue de Phytothérapie Européenne ».

 

François Couplan, docteur-ès-sciences, ethnobotaniste, spécialiste mondial des utilisations traditionnelles des plantes et auteur de cinquante ouvrages sur le sujet.

 

Christophe Bernard, diplômé de la Southwest School of Botanical Medicine et créateur du « Jardin des Plantes Médicinales » , est l’un des meilleurs spécialistes français des plantes. Il enseigne à l’École lyonnaise des plantes médicinales et anime un blog, AltheaProvence, pour les passionnés de plantes sur lequel il partage son expérience. 


Ainsi que Catherine Bonnafous, docteur en biologie humaine et spécialiste des plantes médicinales et aromatiques, Annie Casamayou et Nicolas Wirth, tous deux naturopathes.Grâce au travail de nos spécialistes, les lecteurs de Plantes & Bien-Être peuvent découvrir chaque mois les trésors cachés des plantes, expliqués de façon claire, sans jargon médical compliqué et sans avoir besoin de connaissances botaniques approfondis.


Pourquoi Plantes & Bien-Être rassemble plus de 120'000 lecteurs

Plantes & Bien-Être est la première revue francophone sur les plantes médicinales.

Chaque mois, les 120'000 lecteurs de la publication découvrent des remèdes simples connus des « anciens » et récemment redécouverts comme par exemple : 

Mais avec Plantes & Bien-Être, vous ne vous contentez pas d’enrichir vos connaissances et de découvrir les innombrables vertus des plantes médicinales.

Vous pouvez passer à l’action et réaliser vos propres remèdes à base de plantes.

Constituez votre propre pharmacie naturelle

Dans chaque numéro de Plantes & Bien-Être, vous apprenez à préparer chez vous vos propres remèdes qui fonctionnent

Vous découvrez comment vos macérats huileux, vos cataplasmes, à choisir les bons mélanges pour vos tisanes, les bonnes huiles essentielles. 

Cette année, les lecteurs de Plantes & Bien-Être ont pu apprendre à :

Et ce ne sont que quelques exemples parmi toutes les recettes publiées chaque mois dans notre publication.

Mais, avec Plantes & Bien-Être, vous saurez aussi comment utiliser des ingrédients naturels dans tous vos gestes quotidiens :

La plupart des produits nettoyants pour la maison contiennent de puissants acides toxiques et de l’alcool éthoxylé. 

Il est parfois difficile de choisir entre les labels bios qui se concurrencent sur les étagères des magasins. En plus, ces produits sont souvent plus chers et il faut y réfléchir à deux fois avant de se lancer.

Avec Plantes & Bien-Être, vous verrez comment les plantes peuvent s’inviter dans votre salle de bains pour remplacer tous ces produits cosmétiques et réaliser des économies :

Vous découvrez aussi comme il est facile de cultiver les plantes « simples » de nos ancêtres, mais aussi les plantes médicinales des autres cultures : pharmacopée chinoise, amazonienne, plantes tibétaines et ayurvédiques (médecine indienne), ainsi que les nouvelles espèces médicinales. 

Vous verrez qu’une petite surface suffit à cultiver vos plantes thérapeutiques : un simple bac à fleurs ou un petit balcon permettent déjà de cultiver chez vous une pharmacie naturelle de secours. 

Et pour compléter votre « arsenal », Plantes & Bien-Être vous indique aussi où vous procurer les plantes que vous ne pouvez pas cultiver.

Il n’est toujours facile de s’y retrouver dans la jungle des sites internet et des magasins bio. A quelle marque faire confiance ? Comment acheter au meilleur prix ? Comment savoir si on achète la bonne variété ?

Tout ce travail de « déminage » est mené en permanence par l’équipe de rédaction de Plantes & Bien-Être qui teste les fournisseurs et s’assure de la qualité des produits. Vous n’aurez qu’à suivre leurs conseils pour être sûr de ne pas vous tromper.