DIX RAISONS DE NE PAS VOUS
FAIRE VACCINER CONTRE LA GRIPPE
Chaque année, les experts médicaux et les médias grand public aux ordres de
l’industrie pharmaceutique travaillent dur pour nous convaincre de nous faire
vacciner contre la grippe. Mais on se garde bien de nous parler des multiples
cas d’effets indésirables, parfois graves, voire mortels, parmi le 3e âge.
Donc, à mon tour, chaque année, après avoir reçu le courrier « bienveillant »
annuel du ministère de la Santé m’invitant à me prémunir de cette « terrible
menace saisonnière », je me fais le plaisir espiègle de démonter
systématiquement cette propagande mensongère à but exclusivement lucratif, ceci
afin de pratiquer moi aussi la méthode Coué, mais en sens inverse.
En effet, de nombreux experts médicaux reconnaissent maintenant qu’il est plus
important pour vous et votre famille de vous protéger du vaccin que de la
grippe elle-même.
Voici 10 raisons pour lesquelles les vaccins
contre la grippe sont plus dangereux qu’une grippe
1. Une malveillance réservée au 3ème âge... au départ
Ceux qui ont de la mémoire se rappellent que je l’avais baptisé « vaccin
anti-retraités ».
En effet, l’argument central est que les vieux seraient souvent atteints de
baisse immunitaire progressive. Peut–être que les caisses de retraite tentent
leur chance pour que le vaccin finisse discrètement le travail…
2. Le vaccin antigrippe rend sensible à la pneumonie
et à d’autres maladies contagieuses
Pour quelqu’un qui a un système immunitaire déjà affaibli, l’injection de
souches virales de la grippe peut avoir des conséquences dévastatrices. Si votre
corps est déjà au travail pour lutter contre un virus ou qu’il fonctionne
simplement avec une faible immunité, l’injection d’un vaccin peut l’exposer
gravement à contracter une grippe avec des symptômes extrêmes, ou encore une
pneumonie et d’autres maladies contagieuses graves.
3. Les vaccins contre la grippe peuvent induire la maladie
d’Alzheimer
Des recherches menées par le Dr Hugh Fudenberg,
spécialiste en immunologie, montrent que ceux qui font régulièrement le vaccin
contre la grippe multiplient leur risque d’avoir la maladie d’Alzheimer par 10.
Il pense que cela est dû à la combinaison toxique de l’aluminium et du mercure
dans le vaccin.
4. Les vaccins antigrippaux contiennent du mercure
Pour rappel, le mercure peut causer, entre autres, de la dépression, des pertes
de mémoire, des maladies cardiovasculaires, des problèmes respiratoires, des
problèmes bucco-dentaires, des déséquilibres digestifs…
5. Troubles vasculaires
La recherche médicale montre que les vaccins contre la grippe sont associés à
un risque accru d’inflammation vasculaire. Les symptômes comprennent notamment
de la fièvre, des douleurs de la mâchoire, des douleurs musculaires, des
douleurs et des raideurs dans le cou, les bras, les épaules et les hanches et
des maux de tête.
6. Il affaiblit les réactions immunologiques
Des milliers d’articles de revues médicales ont publié que les vaccins
conduisent à des réactions immunologiques aléatoires ouvrant la porte à de
nombreuses infections collatérales. En réalité, les vaccins anti-grippe
inhibent la capacité à combattre les effets dont ils sont censés nous protéger.
7. Les enfants de moins de 1 an courent un risque grave
Avez-vous déjà remarqué comment les enfants vaccinés tombaient malades, presque
immédiatement après une vaccination ? En particulier, les enfants de moins de 1
an sont très vulnérables à une violation du centre nerveux sensible qui entoure
le cerveau et le système nerveux central. Or le premier vaccin contre la grippe
est administré à l’âge de 6 mois. Un enfant de moins de 1 an manque de
protection pour se prémunir contre une détérioration prématurée de la barrière
hémato-encéphalique. C’est en particulier le cas des bébés sevrés prématurément
et qui, du coup, sont privés du bénéfice des défenses immunitaires de la mère.
En réalité, plutôt que de protéger, le vaccin contre la grippe est une
suppression médicale du système immunitaire.
8. Manque de preuves réelles d’efficacité,
surtout sur les jeunes enfants désormais ciblés par la propagande
Je n’ai jamais vu de petits enfants atteints de grippe – de bronchite, de
rhinite, d’otite, et de tout le cortège en « ite », oui, mais pas de grippe. 51
études impliquant 260 000 enfants, âgés de 6 à 23 mois, n'ont établi aucune
preuve que le vaccin contre la grippe était plus efficace qu’un placebo. En
outre, comment les vaccins censés prémunir contre la prochaine grippe (tirée au
sort parmi des millions de virus « terroristes » potentiels de l’année ?)
pourraient-ils être opportuns ? Soyons sérieux !
9. Troubles neurologiques graves
Des preuves indiquent maintenant que les ingrédients qui sont dans les vaccins
contre la grippe peuvent causer des troubles neurologiques graves. En 1976, un
nombre important de ceux qui ont reçu le vaccin ont eu le syndrome de
Guillain-Barré (SGB), une affection caractérisée par
des lésions nerveuses permanentes, et même la paralysie. Les vaccins
antigrippaux contiennent une soupe de composants toxiques, tels des détergents,
du mercure, du formaldéhyde et des souches de virus vivants de la grippe.
10. Risque accru de narcolepsie
Des dizaines de cas signalés d’enfants dans 12 pays différents ont développé la
narcolepsie (un trouble du sommeil chronique) après avoir reçu le vaccin contre
la grippe. L’étude, qui eut lieu entre octobre 2009 et décembre 2011, a comparé
3,3 millions de Suédois vaccinés avec 2,5 millions de personnes qui n’ont pas
été vaccinées. Le risque a été jugé plus élevé chez les plus jeunes qui se sont
fait vacciner. Pour les moins de 21 ans, le risque de contracter la narcolepsie
était trois fois plus élevé.
Voulez-vous faire leur fortune
ou avez-vous confiance en votre grand-mère ?
En août 1999, le Comité sur la réforme du gouvernement a lancé une enquête sur
la politique fédérale de vaccination. Cette enquête a porté sur d’éventuels
conflits d’intérêts de la part de la Food and Drug Administration (FDA)
et les Centers for Disease
Control and Prevention (CDC). L’enquête a conclu
que de nombreuses personnes siégeant dans les deux principaux comités
consultatifs avaient des liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques
qui fabriquent les vaccins. Souvent, on a accordé des dérogations à ces
personnes pour participer pleinement aux discussions qui ont abouti à des
recommandations en matière d’homologation de vaccins pour l’immunisation des
enfants. Ceci remet sérieusement en question la motivation réelle des vaccins
antigrippaux.
Nos grands-mères savaient parfaitement accompagner les grippes avec de simples
tisanes telles que la bourrache, les grogs au coucher pour suer, le trio sarriette/cannelle/
clous de girofle du Dr Belaiche, les bains très
chauds (40-41°) ou encore le chlorure de magnésium et le cuivre Granions.
Michel Dogna