DU BICARBONATE CONTRE LES
CANCERS ? Et si le Dr Tullio Simoncini avait raison
…
Vu le prix
dérisoire du bicarbonate, il ne fallait pas s’attendre à ce que la médecine
officielle accueille cette innovation avec enthousiasme. Il y a maintenant
des années que l’on parle de la méthode du Dr Simoncini,
mais le seul titre de son ouvrage : "le cancer est un champignon"
m’a braqué dès le départ. Ce qui m’a aussi rendu méfiant, c’est que je
n’ai pas entendu dire que ce « dérangeur» émancipé du «médicalement correct »
ait eu quelques ennuis avec l’Institution. D’un autre
côté, je pars toujours du principe que des tas de phénomènes fonctionnent
parfaitement à partir de théories fausses, voire sans aucune explication. Pour le
Dr Simoncini, le cancer serait la conséquence d’une
infection à partir du Candida albicans (champignon). Selon des
statistiques remontant à dix ans, il y aurait environ 70% des américains qui
seraient atteints sans le savoir de Candidose. Les spores de ce champignon
s’installent et prolifèrent dans l’organisme, suite au déséquilibre
alimentaire et la pollution chimique de la vie moderne, qui ont créé un
terrain acide ; bien que l’on puisse vivre longtemps avec les multiples
troubles pénibles connus, lorsque cette invasion entretenue par l’acidose
dépasse un certain seuil, la situation devient ingérable pour l’organisme.
C’est à ce moment que dans un programme de survie, celui-ci crée des
tumeurs-poubelles pour tenter de limiter géographiquement le problème. Le Dr. Simoncini estime que la meilleure façon d’essayer
d’éliminer une tumeur est de la mettre en contact avec du bicarbonate de
sodium, aussi près que possible, en utilisant l’administration par voie orale
pour le tube digestif, des lavements pour le rectum, la douche vaginale pour
le vagin et l’utérus, et l’inhalation (?) pour les parties supérieures des
voies respiratoires. Les seins,
les ganglions lymphatiques, peuvent être traités par des perfusions
sous-cutanées locales. Pour les
poumons et le cerveau, il utilise la voie d’injection intraveineuse (là ce
n’est plus de la médecine douce). Les organes internes peuvent être traités
avec du bicarbonate de sodium en localisant les cathéters appropriés dans les
artères (du foie, du pancréas, de la prostate, et des membres) ou dans les
cavités (de la plèvre ou du péritoine). Simoncini
affirme que le bicarbonate de sodium détruit les colonies de champignons au
cœur des tumeurs cancéreuses. Quel taux de guérison ?
Le Dr. Simoncini donne les statistiques suivantes : Le médecin
déclare : "Mes méthodes ont guéri des personnes pendant 20 ans. Beaucoup
de mes patients se sont rétablis complètement d’un cancer, même dans des cas
où l’oncologie officielle avait renoncé ". Outre sa
formation d’oncologue, le Dr Simoncini est une
personne très humaine et sensible aux problèmes des autres. Il est toujours
possible de le joindre par email ou par téléphone +39.335.294480 pour des
renseignements complémentaires. Rappels sur le bicarbonate
de sodium
C’est ce
que l’on appelle en chimie : un tampon. Il ramène au pH neutre de 7 aussi
bien l’acidité que l’alcalinité. En médecine, le bicarbonate de sodium est
couramment utilisé comme antiacide, pour les secours à court terme :
Mais,
selon Simoncini, le bicarbonate de sodium est
irrésistiblement efficace quand il s’agit de tissus cancéreux. Comment faire concrètement
?
Le
bicarbonate s’achète en pharmacie ou en supermarché, sous forme de fine
poudre et se dissout à raison de 50g par litre d’eau. Le
principe est de mettre en contact direct, si cela est possible, le
bicarbonate de soude avec l’organe infecté pour au minimum 6 minutes (temps
au-delà duquel le champignon ne peut survivre) et ce durant 7 à 8 jours de
suite. En pratique, cela est facilement réalisable pour certains cancers
(bouche, œsophage, estomac, intestin, utérus). Pour les
autres types de cancer non accessibles directement, le bicarbonate est
administré par artériographie (injection dans une artère par cathéter). Personnellement,
je considère que face à la chimio, cette technique ne comporte aucun risque.
Donc quelle que soit la thérapie choisie, c’est pour le moins un puissant
adjuvant qui vient s’inscrire avantageusement parmi la liste des
« adjuvants best of », que nous avons cités précédement
sur le site alternativesante.fr. |
Michel
Dogna |