LES CHEMTRAILS, VOUS Y
CROYEZ, VOUS ?
Peu de
gens se soucient de ce qui se passe au dessus de leur tête. Pourtant, il s’y
passe des choses étranges et inquiétantes depuis plus de dix ans en France et
en Europe, et depuis plus longtemps encore aux Etats-Unis. C’est ainsi que
d’une façon régulière, on peut observer haut dans ciel au-dessus des grandes
villes de larges quadrillages de traînées d’avions, qui stagnent des
heures et se rejoignent lentement en une couche laiteuse diminuant
notablement la luminosité du ciel. On appelle cela les chemtrails
(prononcer Kemtrails), des "traînées
chimiques". Aux
curieux, il est répondu que c’est un phénomène naturel de condensation par le froid de la
vapeur d’eau résultant de la combustion des réacteurs d’avions en haute
altitude dans certaines conditions météo ; et monsieur tout le monde rentre
chez lui tranquillisé. Pourtant, il y a quelques années, on ne voyait jamais
dans le ciel cette persistance des traînées blanches. Pourquoi ? De fait,
les avions « honnêtes » laissent derrière eux une traînée blanche, mais qui
ne persiste que quelques minutes. Pour comprendre ce processus, il suffit de
revenir à la définition du point de rosée. Il s'agit de la température
à laquelle il faut refroidir un volume d'air, à pression et humidité
constantes, pour qu'il devienne saturé en vapeur d’eau, ceci donnant lieu à
la formation de microgouttelettes d’eau (comme la rosée) C’est ce
qui se passe à la sortie de l’air très chaud des réacteurs qui est saisi par
l’ambiance atmosphérique moyenne de -50° à 35 000 pieds d’altitude. Mais dès
que la pression et la température se diluent et s’homogénéisent dans
l’atmosphère, on se retrouve rapidement en dessous de la valeur du point de
rosée, et les gouttelettes repassent à l’état de vapeur – ce qui n’est pas
le cas pour les chemtrails qui perdurent des heures
entières. Ceci prouve que les chemtrails ne
sont pas faits de vapeur d’eau. Mon témoignage personnel
Au mois de
mai dernier, pendant un vol au petit matin en tant que passager, nous avons
aperçu par le hublot avec mon épouse, un quadriréacteur qui nous croisait à
un niveau en dessous, c'est-à-dire 1000 pieds réglementaires (300m), et dont
s’échappait une épaisse fumée blanche….de l’arrière de la carlingue, alors
que rien ne s’échappait des réacteurs. Bizarre !!! Non ? Un ingénieur allemand
témoigne en public
On peut
voir en vidéo sur YouTube (ici) le témoignage de cet ingénieur aéronautique qui
milite maintenant dans une association en faveur de la paix. « Je travaillais
sur la base militaire spéciale d’Oberpfaffenhofen
où nous installions dans un avion un matériel destiné à effectuer des
pulvérisations dans le ciel. Nous devions vider tout l’avion, installer les
réservoirs, et effectuer tous les branchements. J’étais là en tant que civil
sous contrôle militaire. Quand nous avons eu terminé, on nous a dit que
c’était un test conduit par l’aéronautique et l’administration de l’espace
allemand. Cet avion ainsi équipé était soi-disant destiné à voler devant un
deuxième avion qui devrait prendre des mesures… Quelque chose comme : nous
voulons seulement savoir comment les particules épandues se comportent et se
propagent dans le ciel. Après
avoir terminé les installations, des gars de l’armée sont venus nous
conseiller de mettre des combinaisons de protection pour tout le corps et des
masques à gaz parce qu’ils allaient remplir les réservoirs avec des
substances comme du sulfure d’aluminium et des oxydes de baryum, et aussi des
polymères de nanoparticules hautement toxiques. Scandalisé,
je suis allé voir le représentant local du parti écologique, avec la preuve
en main du fait que les populations allaient être traitées ni plus ni moins
que comme des insectes nuisibles. Je lui ai dit que j’étais prêt à témoigner
devant une commission d’enquête… Ce qui s’est passé ensuite, c’est que mon
patron, trois jours plus tard, est venu me voir chez moi, et m’a dit : « Je
suis désolé, mais je dois vous licencier. Je reçois tellement de pressions du
haut de la hiérarchie que je ne peux plus tenir ». Depuis, je
ne peux absolument plus trouver de travail dans l’aéronautique. Je tiens à
préciser que nous nous dirigeons vers une catastrophe écologique. Et à ceux
qui ne me croient pas, s’il vous plait, venez voir et je vous montrerai la
preuve de tout ce que j’avance. Je répète : je suis prêt à témoigner
devant toute commission d’enquête. » Qu'est-ce que la
géo-ingénierie ?
Ce que
l’on appelle la géo-ingénierie a officiellement deux buts. D’une part, la
manipulation du climat pour soi-disant contrecarrer les effets du
réchauffement climatique dus à l’émission de gaz à effet de serre, et d’autre
part la protection des populations contre les rayons solaires qui ne seraient
plus suffisamment filtrés par la couche d’ozone défaillante. La
technique utilisée est l’épandage aérien avec des aérosols classés « top
secret ». A noter que ces aérosols ne font l’objet d’aucune autorisation
légale et n’ont été votés par aucun pays États concernés par les épandages
aériens. Non seulement cela, mais les gouvernements feignent d’ignorer
l’existence des avions épandeurs et nient avec véhémence cet état de fait.
Bien sûr, les médias officiels restent muets sur ce sujet. Il n'y a
qu'en Serbie que le président du mouvement écologique Nicolas Aleksic s’est levé pour accuser le gouvernement de
complicité de génocide par empoisonnement collectif. Il veut savoir qui sont
les traîtres ayant donné le feu vert à cet empoisonnement organisé. Il en
appelle à l’armée pour abattre ces avions épandeurs de maladies et de mort,
et demande au Procureur général serbe d’engager immédiatement des poursuites
contre les responsables de cette autorisation violant la Constitution qui
s’engage à protéger le peuple. Des retombées suspectes
Depuis
plusieurs années, nombreuses sont les personnes de différentes régions qui
témoignent de l’existence de retombées récurrentes du ciel dans leurs
jardins, de milliers de filaments en polymères blancs. Là encore, il y a des
vidéos partout (comme ici). Ces semeurs d’alerte s’inquiètent à propos de
la salubrité de leurs légumes, ainsi que de pathologies nouvelles qu’ils
subissent souvent au niveau des bronches ou de la peau. Est apparue récemment
une maladie appelée la morgellose qui,
bizarrement, se traduit par l'apparition de plaies sur la peau et de petits
fils blancs qui en sortent. Y a-t-il un lien avec les chemtrails
? A Miserey-Salines dans le Doubs, un habitant a fait
procéder par le laboratoire Qualio de Besançon, à
des analyses d’eau de pluie recueillie tous les 8 mois environ au même
endroit et dans des conditions similaires. Le résultat est fort préoccupant
puisqu’il atteste d’une augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois
(environ 9 fois plus) et d’une augmentation de 100% des taux de baryum,
strontium et titane en 8 mois (2 fois plus). Ces
résultats d’analyse ont fait l’objet d’une communication au maire de Miserey-Salines, lequel a transmis ce rapport d’analyses
à l’Agence Régionale de Santé (ARS-Besançon) Des
alertes officielles se multiplient, mais sans réaction au niveau des
autorités
Des analyses officielles
incontournables
Les analyses réalisées par le laboratoire AnAlytika
représentent le chaînon manquant pour prouver de manière irréfutable à la
fois la réalité et la dangerosité des Chemtrails.
Les résultats sont éloquents. Il faut noter que le coût des analyses a été
supporté par les citoyens, car les autorités se moquent éperdument de la
santé publique. Au contraire, on peut affirmer sans l'ombre d'un doute qu'ils
participent activement à cette mascarade. Heureusement,
certains députés, comme Gérard Bapt, ont déjà fait
part du problème à l'Assemblée nationale fin 2012. C’est l'association
citoyenne pour le suivi, l'étude et l'information sur les programmes
d'interventions climatiques et atmosphériques (ACSEIPICA) qui avait attiré l'attention de ce député sur
les résultats de ces analyses afin qu'il en parle à l'Assemblée nationale.
Mais il ne faut pas s'y tromper, des sujets sensibles sont régulièrement
abordés à l'Assemblée (comme la toxicité de l'aluminium vaccinal) et les
réponses évasives du ministère de la Santé ont à chaque fois conduit à
enterrer les polémiques pour passer à autre chose… Les conclusions des
analyses du laboratoire.
On
retrouve des composants non identifiés, ce qui montre bien que de la
recherche militaire a été pratiquée pour mettre au point certain de ces
composants qui sont inconnus du monde scientifique actuel. Les différents
composés organiques engendrés dans une série de huit expériences ont chaque
fois été séparés par chromatographie gazeuse et identifiés par spectrométrie
de masse (GC/MS). Tous les échantillons étudiés contenaient plusieurs
composés aromatiques toxiques synthétiques (phtalates)
et trois d'entre eux contenaient du DEHP, un représentant de cette
famille de produits chimiques particulièrement redouté à cause de ses
propriétés de perturbateur endocrinien. Toutes les
molécules organiques, en particulier les composés hétérocycliques, présents
dans ces échantillons de filaments aéroportés, sont préoccupantes, à la fois
sur le plan de la santé publique et celui de leur impact environnemental. Ce
rapport, ainsi qu'une lettre de l'ACSEIPICA et une déclaration du comité scientifique
italien Galileo qui confirme la présence de métaux toxiques dans les
prélèvements ont été envoyés, entre autre, au ministre de l'Écologie, du
Développement durable et de l'énergie et à celui de la Santé. On ne pourra
donc pas dire qu'ils n'étaient pas au courant ! |
Michel
Dogna |