La trousse de secours du migraineux

Chère lectrice, cher lecteur,

Les pires maladies ne sont pas forcément mortelles : elles s’emploient « tout simplement » à gâcher votre vie.

En France, la migraine gâche ainsi la vie de 12 millions de personnes !!!

C’est une maladie qui joue sur tous les plans de la cruauté :

• Vous savez qu’elle peut frapper n’importe quand… mais ne savez pas quand exactement. Vous vivez dans l’angoisse de la prochaine crise.
• Lorsque les premiers signes annonciateurs apparaissent (aura, vue brouillée, fourmillements, engourdissements…), vous vous sentez démuni(e) car vous savez que vous ne pourrez rien faire pour empêcher la crise.
• Au cours de la crise – qui dure 6 heures en moyenne mais peut durer plusieurs jours – vous ne pouvez rien faire d’autre que souffrir en silence. Vous ne pouvez plus avoir une conversation normale. Vous ne pouvez plus conduire. Vous ne pouvez plus dormir. Vous ne pouvez même plus penser.
• Une fois les symptômes envolés, votre soulagement est immédiatement assombri par la conscience que ça n’est qu’un répit, avant la prochaine crise…

Et le cycle infernal de recommencer, éternellement…

Mais ce ne sont pas les seuls dommages de la migraine : elle expose à d’autres maladies et accidents comme les AVC.

Vous faites peut-être partie des migraineux. Si c’est le cas, il est indispensable que vous lisiez le formidable travail du Dr Jean Paul Curtay qui, au sein des Dossiers de Santé & Nutrition, vient de signer un dossier qui va changer votre vie : « Migraines : la stratégie pour espacer et apaiser vos crises. »

Une menace universelle mais des défenses confidentielles

Même si vous n’êtes pas sujet aux migraines, vous avez tout intérêt à découvrir ce dossier. Pour cinq raisons capitales :

La première, c’est que la migraine ne se préoccupe ni de votre âge, ni de votre sexe, ni de votre catégorie sociale. Certaines personnes ont des crises dès leur plus jeune âge, d’autres ont leur première crise beaucoup plus tard.

Bref, personne n’est à l’abri.

La deuxième, c’est que lorsque la toute première crise survient, on est plongé dans un état de stupeur et de panique qui s’ajoute à la douleur. On ignore ce qui nous arrive. En lisant ce dossier, vous aurez une liste complète des signes qui doivent vous alarmer et qui vous permettront d’identifier correctement la maladie.

À l’inverse, vous trouverez détaillés les symptômes d’autres troubles, comme ceux de la névralgie d’Arnold, qui ressemblent à la migraine mais en sont différents. Vous ne pourrez pas vous tromper.

La troisième, c’est la découverte des facteurs qui favorisent chez la plupart des gens la survenue de cet enfer qui, apparu une première fois, ne manque jamais de se manifester à nouveau. Vous pourrez ainsi vous en prémunir efficacement. Ces facteurs sont autant :

• Alimentaires : ils concernent des aliments aussi différents qu’un célèbre fromage italien, une fameuse sauce asiatique et bien d’autres produits encore, qui ont tous pour point commun d’utiliser un additif alimentaire : le E621. Je vous en dirai plus sur ce mécanisme dans quelques lignes.
• Génétiques : une dizaine de gènes sont associés à la migraine, dont une mutation du gène contrôlant l’enzyme qui détruit l’histamine (qui permettrait une réaction immunitaire appropriée en cas de migraine).
• Hormonaux : chez les femmes uniquement, la chute des œstrogènes avant les règles, mais aussi la prise de la pilule contraceptive, augmentent significativement les risques et la fréquence de migraines.
• Que de l’ordre du stress, du tabagisme, ou de l’abus d’exposition aux écrans d’ordinateurs ou de tablettes.

Vous retrouverez l’ensemble de ces facteurs et les explications qui y sont associées dans ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition.

La quatrième raison, c’est que vous comprendrez pourquoi les médicaments aujourd’hui prescrits pour traiter la migraine sont au mieux inefficaces, au pire dangereux. Cela vous permettra de ne pas faire la même erreur que des millions de Français. J’y reviens dans un instant.

La cinquième, enfin, sont les conseils qui vous permettront de faire immédiatement face aux symptômes et d’en atténuer la douleur si ce fléau devait tout de même s’abattre sur vous…

C’est, vous le comprendrez, sur ces deux derniers points que je vais m’étendre un peu plus dans la suite de cette lettre, car ils sont les plus vitaux aux yeux des personnes souffrant déjà de migraines.

Le bouclier antimigraine

Je préfère vous prévenir : il est impossible de se débarrasser des migraines. Mais on peut s’en protéger très efficacement.

Autrement dit, il n’existe pas de traitement curatif de la migraine, mais on peut :

• Adopter un traitement symptomatique 
• La prévenir efficacement.

Mais pour commencer : arrêtez les médicaments qu’on vous vend pour soi-disant lutter contre les crises de migraine. Ils sont inefficaces et/ou dangereux.

Ce sont :

• Les AINS (anti-inflammatoires). Comme le dit le Dr Curtay : « Ils sont corrosifs sur la muqueuse digestive, peuvent entraîner des hémorragies et sont classés dans les 3 premiers médicaments causes de décès iatrogènes. Le paracétamol est le plus souvent inefficace » !
• Les triptans, qui agissent sur un récepteur de la sérotonine. Or, ces médicaments sont contre-indiqués en cas de risque ou de maladies cardiovasculaires… et la migraine est en soi, je vous l’ai dit, un facteur de risque accru d’AVC !
• Les gépans et les ditans, qui se révèlent respectivement toxiques sur le foie et ayant les mêmes effets négatifs que les triptans.

Une liste comparable est à faire pour les médicaments soi-disant préventifs, les bêtabloquants et antiépileptiques, mais la liste des raisons énumérées dans le dossier du Dr Curtay est trop longue pour que je la reproduise ici !

En cessant l’usage des médicaments, vous vous épargnez une double peine pour vous consacrer à la seule lutte qui vaille. Elle sera d’autant plus efficace.

Ne vivez plus dans la crainte de la prochaine crise.

L’exposé du protocole alimentaire pour calmer et prévenir les crises de migraine est étroitement lié à celui de ce qui les provoque. Je ne peux vous en dire trop sans couper l’herbe sous le pied du Dr Curtay. Sachez cependant que la principale chose à toujours avoir en tête – c’est le cas de le dire – est de calmer le récepteur NDMA de votre cerveau.

C’est l’hyperactivité de ce récepteur qui rend fou votre cerveau et contamine votre santé. J’ai déjà évoqué les facteurs qui favorisent cette hyperactivité. Notamment les facteurs génétiques. Dans ces cas-là, il s’agira d’être encore plus vigilant.

L’activité des récepteurs NMDA est avant tout liée à ce que nous consommons. Certains aliments vont les rendre fous, d’autres les calmer ou, tout du moins, leur permettre de conserver un rythme normal.

Le glutamate, l’aspartate et l’histamine sont les principaux « stimulants » des récepteurs NMDA. On les retrouve dans plusieurs médicaments dont la liste vous est révélée dans ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition.

Mais on les retrouve aussi dans de nombreux produits de consommation courante, aussi différents que les pois chiches, les anchois et le saucisson.

Mais surtout, on les retrouve sous forme d’additifs alimentaires et d’exhausteurs de goût, sous forme de monosodiumglutamate (MSG), le fameux E621 dont je vous parlais également plus haut… en réalité, il faut vous méfier de tous ses petits frères.

Si au supermarché vous trouvez un emballage sur lequel figurent des composants allant du E621 au E625, reposez immédiatement le paquet en question, sans quoi vous risquez de vous retrouver, comme le Dr Curtay nous met en garde, victime du syndrome du restaurant chinois. Et dans ce cas, la migraine n’est « que » l’un des symptômes…

Vous vous en rendez compte, les composants alimentaires industriels et les médicaments sont les premiers ennemis du migraineux.

Et de celle ou celui qui ne l’est pas encore.

Les remèdes, en revanche, sont naturels. Ce sont des minéraux et des vitamines : le magnésium, le zinc, les vitamines B6, B2, B9, B12 et D, la coenzyme Q10. Tout le secret, vous vous en doutez, réside dans les dosages et le choix des bons compléments alimentaires.

Ce sont ces secrets que vous livre le Dr Curtay dans ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition.

Je vous invite à soutenir son travail en vous abonnant à cette publication qui permet au grand public d’accéder à des informations nutritionnelles que l’industrie pharmaceutique aimerait garder confidentielles, et qu’une poignée de médecins citoyens tels que le Dr Curtay s’efforce au contraire de diffuser, pour le bien et la santé du plus grand nombre.

Vous pouvez vous abonner pour participer à ce mouvement citoyen, tout en bénéficiant de solutions qui vous permettront de vivre plus longtemps et en meilleure santé.

C’est le 30 mai que ce numéro des Dossiers de Santé & Nutrition sera mis sous presse. Rendez-vous avant le dimanche 29 mai minuit sur le lien d’abonnement sécurisé ci-dessous pour vous inscrire et le recevoir par la poste.

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À votre santé !

Jean-Marc Dupuis