MENINGITEC : UNE NOUVELLE IMPOSTURE VACCINALE ORDINAIRE
Il n’y a pas une semaine sans qu’un nouveau drame vaccinal individuel ou
collectif vienne s’ajouter à l’hécatombe des millions de victimes accumulées
depuis plus d’un siècle ; mais évidemment, rien ne transpire dans la grande
presse.
Le nouveau scandale du vaccin Meningitec (sorti en 2014) pollué à la
"nanotech" n’a pu voir le jour que parce que plus de 580 familles se
sont portées partie civile, accusant ce vaccin d'être à l’origine de nombreux
troubles graves chez leurs enfants : fièvres violentes et inexpliquées,
problèmes de peau, de sommeil et troubles graves du comportement… Pour
beaucoup, ces maladies diagnostiquées auto-immunes sont devenues partie
intégrante d’un quotidien devenu infernal. Les parents ne reconnaissent plus
la personnalité de leur enfant ! (voir cet article paru dans Metronews)
Jusque-là, les plaignants ne pouvaient que supposer le lien de cause à effet
entre les étranges symptômes développés par leurs enfants et l’injection, fin
2014, d’un lot frelaté du vaccin Méningitec, indiqué pour prévenir une
méningite (très improbable) et les infections du sang causées par les bactéries
méningocoque de souche C.
Malveillance programmée ?
Or mardi 5 avril, un laboratoire italien spécialisé dans les nanoparticules a
rendu publiques ses conclusions d’analyses du vaccin Méningitec. Le résultat
est sans appel : parmi les éléments retrouvés dans l’échantillon de vaccin,
des « nanodébris de plomb, de zinc, de titane » ainsi qu’une « particule de
zirconium », un composant répertorié comme étant « légèrement radioactif ».
Ces poisons nanotechnologiques pouvaient faire espérer leur furtivité face à la
rareté des laboratoires capables de les détecter, ce qui laisse suspecter une
éventuelle malveillance programmée.
Le Docteur Montanari, qui a réalisé les analyses, n’est guère optimiste. Dans
le journal La Montagne, il déclare : « Ces résultats sont très
alarmants. On parle ici de résidus de métaux injectés directement dans le corps
d’un enfant, que l’organisme ne pourra jamais éliminer, qui vont se fixer pour
toujours dans le noyau des cellules. Cela peut provoquer des inflammations
chroniques susceptibles de dégénérer en cancers de tous types. Le cerveau peut
être touché, comme le pancréas. Dans ce dernier cas, des diabètes sont
possibles. Les risques sont multiples. C’est très inquiétant.»
Du côté des principaux acteurs mis en cause, le laboratoire CSP (Centre Spécialités
Pharmaceutiques) qui a commercialisé les lots frelatés du Meningitec « ne
souhaite pas communiquer pour le moment sur cette nouvelle information ».
Quant à l’ANSM, l’agence nationale de sécurité du médicament qui a procédé au
retrait du marché, en septembre 2014, des lots frelatés, elle délivre une
réponse tout aussi frileuse. Aux sollicitations de Metronews, on oppose
également un « pas de commentaire ».
Immunité face aux accidents vaccinaux
Que va-t-il se passer pour ces petits patients dont on suppose à présent qu’ils
ont été contaminés par des métaux lourds ? Les parents, déboussolés, n’en
savent rien. « Je ne sais pas ce qu’ils ont testé sur nos enfants. On est en
train de comprendre qu’ils pourraient avoir un cancer…» déplore encore
Camille, recontactée par le journal à l’occasion de ces nouvelles révélations.
Prochaine étape : une ultime séance de nomination d’experts, prévue pour la fin
du mois de juin au tribunal de Clermont-Ferrand. Après quoi, la justice aura
entre ses mains toutes les informations nécessaires pour poursuivre, ou pas,
laboratoires et pouvoirs publics qui, selon l’avocat des parties civiles, « ont
failli à prendre leurs responsabilités ».
Évidemment, les parents sont désespérés et se culpabilisent d’avoir laissé
vacciner leur enfant avec ce vaccin non obligatoire, sur le conseil d’un
médecin robot irresponsable, ou peut-être même commissionné, et pour une
maladie à risque peanuts. Comme toujours, ce drame est le résultat
d’une naïveté crédule alimentée par la peur. Mais bon sang, quand est-ce
que les gens arrêteront d'avoir une confiance aveugle en des médecins dont
l’incompétence en termes de vaccins est signée par ZÉRO heure de formation ?
Quant aux labos fabricants de vaccins, ils ont fait voter une loi leur
donnant l’immunité face aux accidents vaccinaux, même quand les vaccins sont
obligatoires ! Mais qui le sait ? C’est la surprise en cas de pépin, et il
est trop tard ! Qui accepterait d’acheter une voiture neuve ou tout appareil
sans garantie ? Et là, alors qu’il s’agit de leurs enfants, les parents se
laissent embarquer les yeux fermés par simple obéissance devant l'autorité.
Haro sur l'aluminium… et les autres ?
Tout ceci m’amène au professeur Joyeux, fort sympathique au demeurant,
qui réclame un vaccin DT-Polio à « l’ancienne », c'est-à-dire sans hydroxyde
d’aluminium. Bien sûr, nous rabâchons depuis des années les dégâts de cet
additif qui attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée de Huntington,
Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob... Mais alors, doit-on admettre que les autres
additifs que l’on trouve dans les soupes vaccinales sont inoffensifs quand il
s’agit des sels de mercure (thiomersal), de séquences de virus OGM, d’enzyme
TDT, de formaldéhyde, de borate de sodium (mort-aux-rats) dans le Gardasil, de
squalène MF 59, et dans notre cas, de nanoparticules pour reprogrammer le
cerveau ou modifier l’ADN ?
Un million de signatures obtenues après une opération massive focalisée sur
le seul aluminium, tout en affichant la confirmation de la nécessité vaccinale,
c’est du grand art pour rouler les gens dans la farine. Henri Joyeux, qui
apparaît comme le défenseur de la bonne cause, se mue en fait en grand
défenseur des vaccins, allié du système !
Dans ce jeu de rôle peut-être involontaire, non seulement il ne s’affiche pas
contre les obligations vaccinales actuelles, mais pour une obligation élargie,
et cela en dehors de tout contrôle parlementaire… C’est gravissime ! Il
s’aligne donc sur la nouvelle pirouette sémantique du système d’enfumage pour
contourner le mot « obligatoire », devenant de plus en plus impopulaire, par
une liste de vaccins « exigibles ».
Une belle hypocrisie qui aggrave encore l’état actuel des choses puisque la
nouvelle liste des vaccins dits « exigibles » sera désormais établie par
décret.
C’est l’arbitraire le plus total. Ainsi de trois vaccins obligatoires actuels,
on passera à 8, puis 9, etc. avec la possibilité de se voir imposer à tout
moment, comme « exigible », un vaccin de type « H1N1 ».
EN VÉRITÉ, LES VACCINS NE SONT PLUS DES VACCINS ! Aussi, je vais aller
droit au but ; on a assez discutaillé inutilement depuis cent ans avec des
organisations autistes malveillantes. Les vaccins sont en fait devenus des
armes furtives de destruction massive et de contrôle humain à effet retard,
afin que l’on puisse difficilement établir des relations de cause à effet. Ceux
qui pensent que je délire, qu’ils laissent allègrement vacciner leurs enfants
(chacun fait ce qu’il veut). Moi je suis tranquille : mission info accomplie !
Michel
Dogna