RESTAURER LES ORGANES EN STIMULANT LES CELLULES SOUCHES

Au fait, c'est quoi, les cellules souches ?

Les cellules souches sont des cellules de référence qui génèrent chaque lignée de cellules formant les différents organes de notre corps. À un moment donné du stade embryonnaire, ce sont des cellules souches qui initialisent un « métier » aux cellules à reproduction rapide au départ indifférenciées, pour devenir du tissu osseux, hépatique, sanguin, nerveux, cutané...

Ce qui nous intéresse ici, c’est qu’il y a des types de cellules du corps qui se renouvellent sans cesse, comme le sang tous les 120 jours, la paroi intestinale tous les 10 jours, les kératinocytes de la peau... Mais il y a aussi les destructions accidentelles ou pathologiques, où la reconstruction doit se faire selon le programme de base. Il en va de même pour toute la vie animale et végétale, et ceci passionne la recherche médicale depuis longtemps. En particulier, on étudie avec soin le mécanisme qui permet aux lézards de faire repousser leur queue, aux crabes de reconstruire leur pince perdue, et surtout aux langoustes de vivre éternellement... tant qu’un prédateur (comme l’homme) ne les détruit pas.

En tant qu’humains, nous sommes plus modestes, notre corps possède simplement un mécanisme inné de régénération selon lequel toute blessure ou dérèglement interne est perçu à distance par les CSMO (cellules souches de la moelle osseuse). Celles-ci quittent alors la moelle osseuse en utilisant la voie sanguine pour rejoindre le tissu affecté et le réparer. Arrivées sur le site, les CSMO se transforment, selon le cas, en myocytes, cardiomyocytes, hépatocytes, ostéocytes et même en cellules gliales et nerveuses.

On distingue différentes sortes de cellules souches :

À noter que chez les adultes, les cellules souches se font plus rares, voire insuffisantes avec le vieillissement, et c’est là que commence notre recherche.

Bref historique des découvertes officielles

Tout a commencé dans les années 50 avec les travaux de Leroy Stevens et Barry Pierce. C’est là que des cellules capables de générer toutes les cellules sanguines furent découvertes dans la moelle osseuse, et cela donna lieu à la première greffe de moelle osseuse en 1958.

Au secours du cerveau

Dans une étude en double aveugle chez des patients souffrant de Parkinson, l’injection de cellules souches CSMO dans le cerveau a ralenti la progression de la maladie chez tous les patients en expérimentation. Des observations similaires ont été faites avec des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ces résultats ajoutés à beaucoup d’autres démontrent que les cellules souches adultes provenant de la moelle osseuse ont la capacité de migrer dans le cerveau et de devenir des neurones à part entière. Des études semblables ont démontré la capacité des CSMO adultes à devenir des cellules gliales qui offrent un support essentiel au bon fonctionnement des cellules nerveuses, ainsi qu’à leur régénération en cas de traumatisme.

Au secours du cœur

Le problème après un infarctus, c’est que, généralement, la nouvelle vascularisation n’arrive pas à supporter les besoins du myocarde en régénération, ce qui entraîne souvent une nouvelle perte de tissus viable. Il a été démontré que l’injection de cellules souches CSMO stimule le développement de nouveaux vaisseaux sanguins dans le tissu endommagé, ainsi que la prolifération de la vascularisation existante, contribuant ainsi à la réparation rapide du tissu cardiaque.

Au secours du foie, des os et autres organes

De nombreuses expérimentations qu’il serait fastidieux de développer ici ont permis de vérifier des processus similaires de régénération au niveau du foie ou des tissus osseux à partir d’injections de CSMO.

La voie compliquée de l'interventionnisme scientifique


Il est évident que la recherche pour la compréhension des maladies a permis de grandes avancées médicales. Mais il ne faut pas oublier que cette recherche vise toujours à être rentabilisée par une assistance technique des malades aussi compliquée qu’incontournable, et des mises en œuvre à la fois lourdes et coûteuses. Par exemple, la greffe de moelle osseuse, qui nécessite déjà des donneurs, est une opération délicate à l’issue de laquelle, hélas, la réussite n’est pas toujours au rendez-vous. Le problème, comme cela se passe la plupart du temps en médecine, c’est l’intervention brutale venant bousculer des métabolismes naturels déjà fragilisés.

Plutôt que d’injecter des CSMO recueillies, une voie plus respectueuse de l’intégrité organique consiste à d’étudier des moyens qu’offre la nature pour stimuler voire rétablir des fonctions endormies ou endommagées. La phytostimulation existe, elle est simple, inoffensive, efficace, et beaucoup plus économique que les méthodes officielles.

Des phytostimulateurs de cellules souches

Tout a commencé avec l’algue bleu-vert (Aphanizomenon) du lac Klamath à 1300 m d’altitude, au centre de l'Orégon (États-Unis). Cette microalgue maintenant bien connue a été largement testée pour générer des cellules souches, mais les résultats quoique intéressants ont été assez aléatoires (années 2 000).

Le pionnier a été Christian Drapeau, neurophysiologue à Montréal, avec ses travaux sur l’AFA (aphanizoménon) et les cellules souches. Il est l’auteur de « Le pouvoir insoupçonné des cellules souches » (Ed. de l’Homme). Il a notamment travaillé pour une des premières sociétés d’exploitation de l’AFA, sur les bords du lac, puis il a créé sa propre société Stemtech, qui commercialise le Stemenhance, une combinaison de 2 substances concentrées d’AFA. Il revendiquait une augmentation de 35% de la production des cellules souches.

Puis il y a eu les travaux de Paul Raoul Sandberg et enfin ceux de Plamen Barakov. Ce dernier a travaillé sur une synergie d’algue (AFA, Spiruline et Chlorella) en mesure de faire produire 70% de cellules souches en plus par notre organisme (démontré par une étude publiée).

D'autres pistes ont été suivies depuis, intégrant de l'extrait de myrtille  du thé vert, de la carnosine et de la vitamine D3. Une augmentation de 80% de production de cellules souches a été constatée.

Eric Dussieux : de la chaise roulante au NaturaStem

Cet homme remarquable a connu de grandes épreuves en raison d’une maladie vertébrale dégénérative qui lui a pincé la moelle épinière, le privant de l’utilisation de ses jambes et d’un bras. En 1999, une lourde opération – suivie d’une rééducation – lui rendit petit à petit la mobilité. Mais l’opération n’a pas stoppé la maladie, de forme évolutive, ce qui finit par le ramener en 2010 à la case départ de la chaise roulante.

Deux années de chaise roulante s’ensuivirent alors, aboutissant à une nouvelle nécessité d’opération pour lui dégager à nouveau la moelle épinière. Mais à la fin de cette période, il découvrit le complément alimentaire mis au point par P.R. Sandberg à base d’AFA  qui commença à réveiller sa sensibilité et sa motricité . À force d’une rééducation pugnace, il atteignit 450m de périmètre de marche au printemps 2011. Mais à ce point, il n’y eut plus d’évolution.

Eric Dussieux et son épouse Marie réunirent alors une petite équipe scientifique composée d’une pharmacienne et d’une microbiologiste afin de travailler sur un composé de plantes plus efficace encore. C’est ainsi qu’est né le NaturaStem. Dès le mois de mai 2012 où il a pu commencer à consommer le NaturaStem, son périmètre de marche, alors toujours au même point, s’est remis à augmenter sans aucun palier jusqu’à ce jour. Aujourd’hui, Eric Dussieux peut parcourir une distance de 4 à 5 km, voire davantage.

Il faut noter que NaturaStem agit non seulement sur l’augmentation du nombre de cellules souches, mais aussi sur la qualité du sang (qui leur sert de véhicule). Il permet également de renforcer le système immunitaire, de donner plus de vitalité, et travaille en prévention antivieillissement.

Les trois micro-algues majeures et une poignée d'autres nutriments

Le NaturaStem mis au point par Eric Dussieux contient aujourd'hui.

Plus une synergie de nutriments

NOTA : On pouvait autrefois consulter une liste de témoignages sur le site d'Eric Dussieux où l'on peut aussi se procurer le Naturastem (voir ici). Non seulement cette liste a été censurée par les services officiels d’État, mais Eric Dussieux a été condamné à une amende de 1 500€ sous prétexte de faux (sans aucune enquête). Or je peux personnellement témoigner que,  parmi les familles de proches amis personnels (des personnes cancéreuses amenées dans un état proche du cimetière suite aux bons soins de la très sainte chimio), certaines personnes ont pu être guéries en quelques mois – preuves médicales à l’appui... On ne marche pas sur les plates-bandes du trust du cancer ! Tous les grands trouveurs indépendants (la liste est longue) en ont fait l’expérience plus ou moins cuisante.

Une dernière chose

Pour une plus grande efficacité, je recommande de prendre tous les matins à jeun 3 gélules de Naturastem + 4 gélules d’ AFA.

Michel Dogna