Les Tampax représentent un marché colossal et leur secret de fabrication est
farouchement conservé par Procter & Gamble, le fabriquant de la
marque TAMPAX, leader mondial du marché, (ainsi que des lessives et
détergents…..). Or, qui sait que ces cartouches si absorbantes et si pratiques sont imbibées…….. de
DIOXINES - cette substance hautement cancérogène ?
Le cancer du col de l'utérus est le second cancer féminin, et une femme meurt
du cancer de l'utérus toutes les deux minutes dans le monde !
Y aurait-il un rapport ??? La moyenne des femmes
ayant cinq jours de menstruation par mois durant 38 ans, utilisera donc statistiquement 11.000 tampons au cours de sa vie
Ce produit d'hygiène intime féminin est classé par la FDA (Food and Drug
Administration) comme un instrument médical. Ainsi, les fabricants ne sont pas
tenus de se conformer aux mêmes règles d'étiquetage que celles en vigueur pour
les aliments, médicaments ou cosmétiques. Tout comme pour les tests de toxicité
dans la distribution alimentaire, les tests d'ordre chimique sur les tampons
sont réalisés par les fabricants ou des chercheurs privés qui sont payés par
ceux qui fabriquent et vendent les tampons. A noter que Procter & Gamble
tient à garder secrète la recette de sa soupe chimique
vu que les seules femmes américaines rapportent deux milliards de dollars par
an pour leurs serviettes hygiéniques et leurs tampons chimiques.
ENQUÊTE SUR LA COMPOSITION
DES TAMPAX
A
l'origine, les tampons étaient composés à 100% de coton. Lorsque les femmes se
sont plaintes de fuites, les fabricants ont augmenté leur pouvoir absorbant en
mélangeant le coton à des fibres synthétiques hautement absorbantes comme du polyester,
du polyacrylate, de la viscose et de la cellulose de carboxymehtyl. Au
début des années 80, des rumeurs ont couru concernant les tampons lorsque 38
femmes sont mortes de syndromes de chocs toxiques (TTS), d'une infection
bactériologique liée à l'usage de tampons super absorbants. Suite à ces
événements, bien qu'ils aient nié tout lien avec ces morts,
les fabricants de tampons changèrent la composition de leurs produits. Au cours
des tests privés, il fut établi que ces matériaux
synthétiques attiraient les bactéries qui conduisaient à des TTS. De nouvelles
études amenèrent à sélectionner un mélange de viscose
et de coton comme « composant » le plus sécuritaire, et c'est
précisément ce qui reste dans les tampons classiques d'aujourd'hui.
Or, il ya deux problèmes de
taille :
1 - Le coton
conventionnel utilise pour sa culture environ 38
tonnes de pesticides chaque année aux Etats-Unis. Ces produits chimiques
comptent parmi les plus toxiques utilisés en agriculture et l'Agence pour la
Protection de l'Environnement a déclaré 7 de ces produits chimiques parmi les
15 principaux utilisés pour la production de ce coton, comme cancérigènes pour
l'être humain.
2 - Le viscose
utilisé dans les Tampax est fabriqué à partir de pulpe
de bois et parmi les nombreux produits chimiques qui sont utilisés pendant le
processus de conversion du bois, c'est dans le chlore utilisé pour blanchir la
pulpe de bois que réside le plus grand danger. Le procédé crée des
hydrocarbones chlorés, un groupe de produits chimiques
dangereux, dont l'un des produits dérivés est la dioxine, l'une des
substances les plus toxiques connues.
Alors, en réponse aux
réclamations des consommateurs et du gouvernement américains dans le cadre de
leur loi sur la santé des femmes et la dioxine, suivie par la loi sur la
recherche et la sécurité des tampons, l'industrie du tampon a récemment changé
sa méthode de blanchiment par une nouvelle méthode qui remplace le chlore
gazeux par du dioxyde de chlore. Le dioxyde de chlore est
connu pour ses propriétés désinfectantes, et est utilisé pour contrôler les
micro-organismes nocifs, y compris les bactéries, les virus ou les champignons.
Ce nouvel agent de blanchiment devait théoriquement aboutir à un produit exempt de dioxine.
Et bien non !
Des études ont démontré que la fabrication de dioxyde de chlore ne génère pas un produit aussi pur que le prétendent les fabricants de
tampons. Des réactions chimiques qui ont lieu pendant le processus de
blanchiment libèrent du chlore gazeux… qui engendre
encore de la dioxine. Bien sûr, la nouvelle méthode de
blanchiment diminue la quantité de dioxines créées, mais ne les élimine pas
vraiment. Etant donné que la dioxine est
cumulative et lente à se désintégrer, le danger reste par le contact répété (5
jours par mois, 12 mois par an, pendant près de 40 ans!)
PETITS RAPPELS SUR LA
DIOXINE
La dioxine est une molécule
produite par la combinaison de chlore et de composés organiques, qui a été le composant actif du sinistre agent orange américain
utilisé au Vietnam. Elle est considérée comme la
substance la plus mortelle connue pour l'humanité (on dit qu’une seule cuillère
à soupe serait suffisante pour tuer l’humanité entière. Cette toxine est
un sous-produit de l'incinération des déchets,
de la fabrication de pesticides chimiques et du blanchiment du papier et des
pâtes à papier). Elle est classée POP (polluant
organique persistant) qui s'accumule dans le corps.
Et comme si le coton imbibé de dioxine et de pesticides ne
suffisait pas, les tampons contiennent également de nombreux produits chimiques
supplémentaires qui comprennent :
- des amplificateurs d'absorption,
- des désodorisants,
- des parfums synthétiques.
EFFETS DE CONTAMINATION DES
TAMPAX SUR LA FEMME
La dioxine s'accumule chez
les humains, en particulier dans les tissus adipeux féminins et
le lait maternel. Le principal moyen d'élimination est
donc par le lait maternel ou le placenta. Ainsi elle commence à s'accumuler
dans l'organisme du fœtus et, plus tard, dans celui de
l'enfant en bas-âge. Les enfants et les fœtus sont
donc les plus exposés aux risques alors que leurs systèmes nerveux et immunitaire
sont en plein développement. Cette toxine persistante se propage non seulement
à travers les différentes populations, mais aussi de
manière générationnelle.
Des douzaines de maladies et affections sont liées à l'accumulation de dioxine dans
l'organisme. On peut les regrouper en trois catégories: celles faisant
intervenir les enzymes, les facteurs de croissance et
les hormones. Un récent rapport de l'Agence pour la Protection de
l'Environnement confirme que la dioxine est un
"cancérogène pour l'homme" et ce produit chimique cancérogène connu
est en contact direct avec nos organes internes et nos zones très sensibles.
Des études Suédoises ont établi un lien entre les
tampons contenant de la dioxine et une augmentation des cancers de l'appareil
génital féminin.
En fait, les tampons sont
placés contre les tissus adipeux humides pendant des périodes prolongées créant
un environnement idéal pour l'absorption de produits
chimiques. La dioxine agit comme un perturbateur
endocrinien. Une des maladies les plus directement liés à l'effet de
perturbation endocrinienne de la dioxine libérée par les tampons est l'endométriose,
une maladie où les cellules endométriales de la muqueuse de l'utérus se
développent de manière inappropriée à l'extérieur de l'utérus. Elles poussent sur les ovaires, à l'extérieur de l'utérus ou des
trompes de Fallope ou ailleurs dans la cavité abdominale.
En plus du cancer et de l'endométriose, les
perturbations de la croissance, des enzymes et des hormones causées par
l'exposition à la dioxine ont été associées à :
- des anomalies congénitales,
- l'incapacité à porter une grossesse à terme,
- la diminution de la fertilité,
- la réduction du nombre de spermatozoïdes,
- l’installation du diabète,
- des troubles de l'apprentissage,
- l’altération du système immunitaire,
- des problèmes pulmonaires,
- des maladies de la peau
- la réduction du niveau de testostérone.
AUTRE PROBLEME :
LES FIBRES SYNTHETIQUES ET LEURS RESIDUS.
Des études ont montré que
les fibres synthétiques créent un environnement idéal
pour la croissance des bactéries "Staphylococcus aureus" à l'origine
du syndrome de choc toxique. Ces caractéristiques sont attribuées aux tampons
au très haut pouvoir absorbant qui, par conséquent, laissent derrière eux, des
quantités concentrées de protéines dont ces bactéries nuisibles ont besoin pour
produire leur poison.
En plus d'augmenter le
risque de syndrome de choc toxique, les fibres synthétiques sont abrasives pour
la paroi vaginale qui est très sensible. Les tampons
Tampax sont insérés profondément dans le vagin avec un
applicateur et s'étendent en longueur. Cela pousse le tampon contre la zone
cervico-utérine, provoquant des microcoupures et
incrustant des fragments de tampon dans les tissus du col et la paroi vaginale
(citrinibaum). En plus des coupures provoquées par le tampon
lui-même, le retrait du tampon laisse aussi des fibres qui peuvent être à
l'origine de futures ulcérations.
Ces ulcérations sont
causées par la combinaison des substances chimiques du tampon et par la friction provoquée par son retrait. Les substances chimiques du tampon "rongent littéralement le
tissus vaginal. Ces ulcérations augmentent les risques d'une femme de contracter
une MST en créant une porte d'entrée vers le flux
sanguin. Pour aggraver les choses, le coton génétiquement modifié qui est utilisé aux USA résiste aux effets des antibiotiques.
Par conséquent, les femmes qui utilisent des tampons
de coton OGM peuvent ne pas répondre aux antibiotiques prescrits.
Une petite expérience
impressionnante
Lors de ses recherches, Meghan
Telpner est tombée sur des documents
traitant des fibres microscopiques et chimiques laissées dans leur sillage par
les tampons et qui sont absorbées directement par les tissus adipeux et le flux
sanguin. Elle explique :
« J'ai essayé moi-même de placer un tampon dans un verre d'eau pendant 6
heures (la durée moyenne d'usage d'un tampon) pour faire le constat de mes
propres yeux. Lorsque j'ai retiré le tampon de l'eau, j'ai
trouvé des centaines de minuscules particules blanches semblables à des fils
fluorescents en suspension dans l'eau, certaines s'étaient déposées au fond du
verre, d'autres rasaient les bords. Compte tenu de la quantité de
particules qui étaient clairement visibles à l'œil nu, je peux seulement
imaginer le volume de produits chimiques et de fibres
microscopiques qui sont présentes dans le vagin et intégrées dans le tissu
vaginal à chaque utilisation de tampon. »
L'IMPACT ENVIRONEMENTAL
Les tampons Tampax sont
tout simplement un fléau. Selon le bureau de
consultance en matière de déchets Franklin & Associés, "6,5 milliards de tampons et 13,5 milliards de serviettes
hygiéniques, en plus de leur emballage, ont fini dans des décharges ou des
systèmes d'égout, cela déjà en 1998 ... Et selon le Centre pour la Conservation
Marine, plus de 170.000 applicateurs de tampon ont été collectés le long des
zones côtières américaines entre 1998 et 1999.
DES ALTERNATIVES PLUS
PRUDENTES
Il
existe plusieurs options très valables pour les femmes. Les
solutions alternatives sont disponibles à l'achat sur internet et dans
la plupart des magasins d'alimentation naturelle. Elles comprennent le passage
des tampons conventionnels :
Des tampons 100% bio
sont fabriqués à partir de coton certifié sans OGM. Ils
ne contiennent ni colorants irritants, ni parfum, et ne comportent pas les
risques liés aux fibres synthétiques. Choisir le coton bio et sans chlore
réduit les quantités de toxines dangereuses dispersées dans l'environnement
ainsi que la pollution par les pesticides et produits chlorés tout en les
tenant à l'écart de notre corps.
Ces tampons s'utilisent exactement de la même manière que les tampons
conventionnels avec divers degré d'absorption, avec ou sans applicateur. Il est recommandé d'utiliser le taux d'absorption le plus
bas pour éviter les risques de syndromes de choc toxiques. Les tampons bio ne
sont que légèrement plus chers que les tampons conventionnels.
by Meghan
Telpner : Toxic Death Sticks
http://lafilleducapitaine.revolublog.com/tampax-arme-de-depopulation-massive-a93962217