Alerte aux vaccins L'aluminium accusé

Un nouvel adjuvant dans les vaccins : l'hydroxyde d'aluminium. Une nouvelle pratique : la vaccination intramusculaire remplaçant la piqûre sous-cutanée. Résultat : une nouvelle maladie musculaire handicapante apparaît.

En fait, il semble bien que la présence dans " ce groupe de scientifiques " de représentants des laboratoires pharmaceutiques ait fait traîner les décisions par un lobbying efficace. Ceux-ci n'ont pas intérêt à ce que la toxicité de l'hydroxyde d'aluminium soit officiellement reconnue. Une interdiction occasionnerait des millions d'euros de pertes pour les grandes firmes pharmaceutiques obligées de trouver un nouvel d'adjuvant. En attendant les conclusions des études, il est urgent de revenir à un mode de vaccination sous-cutané, geste simple et immédiatement applicable.

http://www.pharmacorama.com/ezine/lupourvous3.php

L'hydroxyde d'aluminium est utilisé dans de très nombreux vaccins comme adsorbant et adjuvant de l'immunité (voir Aluminium). La non-innocuité de ce type de préparation a été évoquée par le passé mais sans argument véritablement convaincant.

Selon des publications très récentes l'association vaccin-hydroxyde d'aluminium est susceptible de provoquer chez certains individus des réactions immunitaires avec des troubles musculaires ou neurologiques durables.

==================================

http://www.alain-scohy.com/SCOHY_poison-alu.htm

Les VACCINS... La plupart contiennent 1250 micro grammes d'hydroxyde d'aluminium (une des formes chimiques les plus toxiques) par dose, soit plus de dix fois la dose toxique, en tant qu'ADJUVANT de l'IMMUNITE

==================================

http://archives.nouvelobs.com/recherche/article.cfm?id=1324&mot=&mm=01&mm2=12&aa=2002&n_mag=2&num=604

Aluminium et santé

Si l'on se réfère à la quantité quotidienne d'aluminium ingérée, c'est-à-dire 10 à 12 milligrammes/jour, près de 60 % sont apportés par les aliments naturels ; l'autre partie des apports est représentée par les additifs alimentaires dont l'utilisation est acceptée par les autorités compétentes…La position de l'OMS est issue de la réunion de 16 experts, en avril 1995 à Brisbane (Australie). Trois mois plus tard, 71 experts venus de 16 pays différents se réunissaient à Vancouver (Canada) autour du même thème. Voici des extraits des conclusions consensuelles de cette réunion, dont l'intégralité des actes a été publiée dans la revue de référence Journal of Toxicology and Environmental Health (vol. 48, n¡ 6, 30/8/1996) : « Une large variété d'effets toxiques de l'aluminium a été démontrée chez les plantes, les animaux aquatiques, dans les expériences animales par diverses voies d'exposition, et dans différentes conditions cliniques chez l'homme. L'aluminium est un très puissant neurotoxique. Des troubles neurocognitifs et psychomoteurs ont été rapportées à des taux plasmatiques d'aluminium aussi bas que 50 microgrammes/litre. Bien qu'il subsiste de nombreuses questions sans réponse, il existe de fortes indications que l'aluminium pourrait être l'un des facteurs de la maladie d'Alzheimer et peut-être même d'autres troubles neurodégénératifs dont la sclérose amyotrophique latérale.

http://didier.douchet.free.fr/MyofasciiteEnHTML.htm

La myofasciite à macrophages a été récemmentdécouverte par des médecins français.

Elle fait partie des maladies rares.

   L'élément fauteur de troubles se trouve être l'aluminium ou plus exactement l'hydroxyde d'aluminium. Celui-ci se dépose sur le deltoïde gauche. Les macrophages jouent leurs rôles de nettoyeurs mais ne peuvent éliminer ce corps étranger. La réaction de cette défense sécrètent une substance qui s'attaque aux muscles, ce qui crée une inflammation musculaire. Cette substance s'appelle cytokine.

        La cytokine est diffusée par le sang ; on comprend mieux alors la raison pour laquelle les muscles du corps sont atteints.

       D'après les dernières recherches, les probabilités que cela soit dû aux vaccinations contre les hépatites virales A et B sont très importantes, ainsi que d'autres vaccins avec de l'hydroxyde d'aluminium. En fait, dans ces vaccins l'hydroxyde d'aluminium est utilisé comme adjuvant pour accélérer leurs effets. Seulement, cela n'explique pas tout, car toutes les personnes vaccinées avec ces différents produits ne sont pas atteintes par la myofasciite à macrophages. Il reste encore des facteurs inconnus, probablement des prédispositions immunologiques.

==================================

http://asso.e3m.free.fr/

Vaccins contenant des sels d’aluminium :

 

ATTENTION : Il est important de savoir que chez les malades de Myofasciite à Macrophages, l'aluminium du vaccin ne circule pas dans le sang, mais reste dans le muscle à l’endroit de l’injection.

 

VACCINS COMMERCIALISÉS

AVAXIM vaccin inactivé contre l'hépatite A suspension injectable (IM)

D.T.COQ suspension injectable

DIFTAVAX ADULTE vaccin diphtérique et tétanique absorbé suspension injectable

DTCP PASTEUR suspension injectable IM

ENGERIX B 10 ENF-NOUR vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM

ENGERIX B 20 ADULTES vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM

GENHEVAC B PASTEUR suspension injectable IM

HAVRIX ADULTES 1440 U/1 ml suspension injectable IM

HAVRIX ENF-NOUR 720 U/0.5 ml suspension injectable IM

HB-VAX DNA 10 microgrammes/1 ml suspension injectable (IM)

HB-VAX DNA 40 microgrammes/1 ml suspension injectable (Hôp)

HB-VAX DNA 5 microgrammes/ 0.5 ml suspension injectable (IM)

INFANRIX Polio ENF suspension injectable (IM) en seringue pré-remplie

INFANRIX Polio Hib NOUR poudre et suspension pour suspension injectable (IM)

PENTACOQ poudre et suspension pour suspension injectable IM

PENTAVAC pdre et susp pr susp injectable en ser pré-remplie

PENTHIBest poudre et suspension pour suspension injectable IM

REVAXIS suspension injectable

TETANIQUE PASTEUR suspension injectable

TETAVAX suspension injectable

TETRACOQ suspension injectable IM

TETRAVAC ACELLULAIRE suspension injectable en seringue préremplie

TICOVAC 2.7 microg suspension injectable en seringue préremplie vaccin de l'encéphalite à tiques, adsorbé

TWINRIX ADULTE 720/20 suspension injectable en seringue pré-remplie

TWINRIX ENFANT 360/10 suspension injectable en seringue pré-remplie

VAXICOQ suspension injectable, vaccin coquelucheux adsorbé sur hydroxyde d'aluminium

 

VACCINS DONT LA COMMERCIALISATION EST ARRÊTÉE

D.T.VAX solution injectable

DT PASTEUR sol inj

HAVRIX 720 UI/1 ml suspension injectable IM

HAVRIX ENF- NOUR 360 U/0.5 ml susp inj IM

HEVAC B PASTEUR susp inj

PENTACOQ lyoph. et susp. pour susp. inj. en ser. prér. Bicompartimentée

PENTHIBest lyoph. et susp. pour suspension inj

TETAVAX suspension inj.

 

Vaccins sans aluminium :

 

Pour ce qui est de la méningite à Méningocoques, il existe un vaccin qui protège contre deux sérotypes (A et C) qui s'appelle "vaccin Ménigococcique polyosidique A+C Pasteur" et ne contient pas d'aluminium. Par contre le "Méningitec", qui ne protège que contre le sérotype C (et a été utilisé dans le Puy-de-Dome il y a quelques mois) contient de l'hydroxyde d'aluminium.

 

Pour le Tétanos, si on veut éviter l'aluminium, il faut utiliser le vaccin TP Pasteur (Tétanos Polio) ou le DTP Pasteur (Diphtérie Tétanos Polio). Par contre le vaccin Tétanos Pasteur seul contient de l'aluminium.

 

==================================

http://biogassendi.ifrance.com/biogassendi/alualz.htm

Mais, si des fortes doses provoquent des encéphalopathies aluminiques, de récentes études neurobiologiques laissent à penser que certaines maladies du cerveau de type Alzheimer seraient au moins favorisées par l’ingestion chronique de petites doses d’aluminium. 
Or l’Aluminium est omniprésent dans notre vie quotidienne de la forme la plus inoffensive et normale, à la plus sournoise et dangereuse (on en trouve dans certaines protheses dentaires notamment), dans les traitements de l’eau du robinet, dans ceux des produits alimentaires, mais aussi ceux des produits d’hygiène, sans oublier les produits médicamenteux les plus courants (contre les maux d’estomac, les maux de tete), etc..  et même dans le filtre de la derniere cigarette ...

…Ainsi, s’accumulant dans le cortex et l’hippocampe, l’aluminium induirait la nécrose progressive des astrocytes du système nerveux central

La maladie d’Alzheimer est l’une des plus fréquentes démences dégénératives primaires dans le monde developpé et une cause prépondérante de décès. En France, 150 à 300 000 personnes de plus de 65 ans souffrent de la maladie d’Alzheimer et les sujets atteints sont de plus en plus jeunes.
Les cellules du cerveau des patients atteints d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale. D’après une note ministérielle d’octobre 1998 : 

« Tout un faisceau de données expérimentales plaide en faveur d’une intervention de l’aluminium dans le développement des lésions cérébrales caractéristiques des maladies dégénratives du système nerveux comme les DSTA (Démences Seniles de Type Alzheimer), même si l’on ne connait pas l’importance spécifique de ce facteur par rapport aux facteurs génétiques, nutritionnels ou immunologiques ou son éventuelle action synergique »

Après 40 ans d’études contradictoires, l’aluminium paraît être indéniablement impliqué dans la maladie d’Alzheimer. Une récente étude comparative portant sur l’alimentation par perfusion de prématurés a en effet révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois, dont les perfusions contenaient de l’aluminium. 

4. ALUMINIUM ET AUTRES TROUBLES NEUROLOGIQUES

Les foyers de nécrose observés dans la maladie d’Alzheimer et imputables à des taux élévés d’aluminium dans certaines régions du cerveau, présentent des analogies flagrantes avec ceux de diverses pathologies neurocérébrales comme 
 

la myofasciite à macrophages, pathologie d’émergence récente (voir aluminium vaccinal

la maladie de Parkinson 

la maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA) 
Une incidence anormalement élevée de ces maladies chez des populations indigènes de Guam et de Nouvelle-Guinée suggère qu’il pourrait y avoir une corrélation entre ces maladies et les conditions environnementales qui prévalent, notamment des taux élevés d’aluminium et des taux faibles de calcium et de magnésium dans le sol et les aliments. 

 voire les maladies à prion type Creutzfeld-Jakob (voir « ces folles maladies ») 

5. AUTRES PATHOLOGIES LIEES A L’ALUMINIUM 

Si la lente intoxication à l’aluminium conduit donc à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de memoire, à l’epilepsie, on a également deja démontré sa responsabilité dans le psoriasis, et les insuffisances hepato-renales chroniques, l’anémie, l’osteomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose, et les arrêts cardiaques chez les humains..

INTRODUCTION:  UNE INTOXICATION PERMANENTE 

Bien que la Direction Générale de la Santé n’en ait communiqué aucun bilan officiel, la plupart des experts ont acquis la conviction que l’épidémie d’encéphalopathie, une forme progressive de démence caractérisée par tremblements, convulsions, psychose et autres changements cognitifs -parole et comportement-, qui, dans les années 70, a décimé les insuffisants rénaux, avait pour origine la forte teneur en aluminium de l’eau de dialyse et des médicaments. 
Mais, si des fortes doses provoquent des encéphalopathies aluminiques, de récentes études neurobiologiques laissent à penser que certaines maladies du cerveau de type Alzheimer seraient au moins favorisées par l’ingestion chronique de petites doses d’aluminium. 
Or l’Aluminium est omniprésent dans notre vie quotidienne de la forme la plus inoffensive et normale, à la plus sournoise et dangereuse (on en trouve dans certaines protheses dentaires notamment), dans les traitements de l’eau du robinet, dans ceux des produits alimentaires, mais aussi ceux des produits d’hygiène, sans oublier les produits médicamenteux les plus courants (contre les maux d’estomac, les maux de tete), etc..  et même dans le filtre de la derniere cigarette ...

I- THERAPEUTIQUE ALUMINIQUE

L'Aluminium a en effet démontré son utilité dans le cadre d'un suivi médical strict et raisonné. 
Randoin a montré qu'une carence en aluminium inhibe l'action d'une enzyme, la deshydrogénase succinique; il en résulte des troubles nerveux qui rappellent ceux de la carence en thiamine ou avitaminose B1 (une déshydrogénase ou déshydrase est un transporteur d'hydrogène indispensable à l'organisme; c'est le point initial de l'oxydo-réduction). 

C’est pourquoi cet oligo-élément est intéressant dans le traitement des déficiences intellectuelles de l'enfant, en cas de surmenage ou d'atonie cérébrale, et aussi pour lutter contre les troubles du sommeil. Il peut aussi constituer un auxiliaire efficace de la thérapeutique des mongoliens. 

Le docteur Henry Picard qui est à l'origine de l'expérimentation clinique de l'Aluminium catalytique, a démontré que  l'aluminium catalytique 
- agit sur le névraxe ou système nerveux central: encéphale, tronc cérébral et moelle épinière, d’où son utilité dans le traitement de l'hyperkinesie infantile
- améliore l'état des cartilages d'ossification du foetus et du jeune enfant, et les cartilages des surfaces articulaires de frottement. 

L'aluminium (présent notamment dans l’argile sous forme de silicate d’alumine) illustre ainsi parfaitement le fait qu'un même element peut engendrer des effets contraires selon la forme chimique et le dosage utilisé...

II- INGESTION CHRONIQUE NEUROTOXIQUE 

Ainsi, si la prescription, bien dosée, de l’oligo-élément Aluminium ne produit que des avantages, de l'Aluminium ingéré en longue durée ou reçu par les insuffisants rénaux au cours de la dialyse, expose à une intoxication larvée et dangereuse.. 

1. L’ALUMINIUM SE FIXE DANS LE CERVEAU ... 

Si on retrouve 90% de l’aluminium ingéré dans les os, les muscles et les poumons, un mécanisme encore mal élucidé – qui utiliserait un acide aminé, le glutamate (1) et une protéine du sang chargée de distribuer le fer, la transferrine- permettrait à une partie du métal de franchir la barrière hémato-encéphalique. 

« La concentration  d’aluminium dans le cerveau était plus importante chez les rats que nous avions volontairement carencés en fer » (P.V den Bosch)

2.  ..ET ACCELERE SON VIEILLISSEMENT

Des expériences ont montré que des cellules neuronales soumises in vitro à un excès d'aluminium subissent une baisse de l'activité enzymatique acétyl-cholinestérase, une diminution de l'acide ribonucléique, déficit accompagné d'une augmentation de la synthèse protéique caractérisée par la formation de filaments non fonctionnels dans les neurones. 
Ainsi, s’accumulant dans le cortex et l’hippocampe, l’aluminium induirait la nécrose progressive des astrocytes du système nerveux central. Or ces zones gouvernant les processus de mémorisation et d’orientation, le fait que l’on rencontre les mêmes déficiences de ceux-ci, chez les rats intoxiqués et chez les rats agés, laisse à penser que le vieillissement du cerveau s'accentuerait avec l’accumulation d’aluminium. 
Il ressort des expériences de Chapper et de ses collaborateurs (1) que les neurones subissent des altérations quand la concentration dépasse 4µg par gramme de substance cérébrale. 
En 1994, le Professeur Van den Bosch de Aguilar de l’UCL (Université Catholique de Louvain) en Belgique, spécialiste du vieillissement nerveux renforce l’hypothèse d’une relation, chez les rats, entre une dégradation des performances cognitives et la prise quotidienne de faibles quantités d’aluminium

«  Pendant 6 mois, nous avons fait consommer de l’aluminium à des rats. Puis en étudiant leur comportement dans un labyrinthe, nous avons constaté qu’ils mettaient deux fois plus de temps pour retrouver leur chemin  que leurs congénères non chargés en aluminium. » (2)

Suivant Lapresle et ses collaborateurs (3), s'il n'est pas mis un terme à l'intoxication, des cas de démences avec myoclonie (secousses brusques par contractions musculaires involontaires) peuvent se produire, trouble associé au syndrome cérébelleux. Ce syndrome, qui affecte le cervelet, donne lieu à une incoordination motrice et à une démarche titubante, par suite du trouble de l'équilibre déterminé par les lésions. Il faut donc être prudent à l'endroit de l'aluminium.. 

3. DES ANALOGIES AVEC LA MALADIE D’ALZHEIMER 

La maladie d’Alzheimer est l’une des plus fréquentes démences dégénératives primaires dans le monde developpé et une cause prépondérante de décès. En France, 150 à 300 000 personnes de plus de 65 ans souffrent de la maladie d’Alzheimer et les sujets atteints sont de plus en plus jeunes.
Les cellules du cerveau des patients atteints d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale. D’après une note ministérielle d’octobre 1998 : 

« Tout un faisceau de données expérimentales plaide en faveur d’une intervention de l’aluminium dans le développement des lésions cérébrales caractéristiques des maladies dégénratives du système nerveux comme les DSTA (Démences Seniles de Type Alzheimer), même si l’on ne connait pas l’importance spécifique de ce facteur par rapport aux facteurs génétiques, nutritionnels ou immunologiques ou son éventuelle action synergique »

Après 40 ans d’études contradictoires, l’aluminium paraît être indéniablement impliqué dans la maladie d’Alzheimer. Une récente étude comparative portant sur l’alimentation par perfusion de prématurés a en effet révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois, dont les perfusions contenaient de l’aluminium. 

.

-BISHOP N. J. and al. : « Aluminium neurotoxicity in preterm infants receiving intraveinous-feeding solutions », 

in The New England Journal of Medicine, t.336 (22), p.1557-1561 ; 1997). 

-CRAPPER MC et col. « Intramuscular dysferrioxamine in patients with Alzheimer disease » Lancet 1991-337-1304 , 1308

-HARRINGTON CR et col. « Alzheimer’s disease-like changes.. » Lancet 1994-343-993, 7

-GARRUTO et BROWN « Tau protein, aluminium and Alzheimer’s disease, »  Lancet 1994-343-989

retour sommaire

4. ALUMINIUM ET AUTRES TROUBLES NEUROLOGIQUES

Les foyers de nécrose observés dans la maladie d’Alzheimer et imputables à des taux élévés d’aluminium dans certaines régions du cerveau, présentent des analogies flagrantes avec ceux de diverses pathologies neurocérébrales comme 

·        la myofasciite à macrophages, pathologie d’émergence récente (voir aluminium vaccinal

·        la maladie de Parkinson 

·        la maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA) 
Une incidence anormalement élevée de ces maladies chez des populations indigènes de Guam et de Nouvelle-Guinée suggère qu’il pourrait y avoir une corrélation entre ces maladies et les conditions environnementales qui prévalent, notamment des taux élevés d’aluminium et des taux faibles de calcium et de magnésium dans le sol et les aliments. 

·        voire les maladies à prion type Creutzfeld-Jakob (voir « ces folles maladies ») 

5. AUTRES PATHOLOGIES LIEES A L’ALUMINIUM 

Si la lente intoxication à l’aluminium conduit donc à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de memoire, à l’epilepsie, on a également deja démontré sa responsabilité dans le psoriasis, et les insuffisances hepato-renales chroniques, l’anémie, l’osteomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose, et les arrêts cardiaques chez les humains.. 

III. USAGE DOMESTIQUE 

1. ADDITIFS ALIMENTAIRES

La couverture des besoins quotidiens en aluminium est assurée par une alimentation salubre et équilibrée. Les aliments contiennent en moyenne moins de 5mg/kg d'aluminium (coquillages, vegetaux, etc..) et on en trouve les teneurs les plus interessantes dans les algues, la levure alimentaire et la pomme. 
L’ennui est que l’alimentation industrielle par le biais de ses additifs (colorants, anti-coagulants, raffermissants ou encore levants), rend l’aluminium omniprésent à des doses anti-physiologiques dans la plupart des aliments et augmentent ainsi le taux d’aluminium dans le sang de façon spectaculaire. 

·        desserts et boissons, 

·        fruits confits, 

·        produits laitiers, 

·        lait maternisé industriel, 

·        préparations à base de blanc d’oeuf, 

·        grains et les produits céréaliers, 

·        sel blanc de table traité au silicate d'aluminium, 

·        agents de blanchiment pour traiter la farine, 

·        certains fromages fondus contenant de l'aluminium comme émulsifiant (fromages en boite) etc... 

Les additifs parmi les plus courants à base d’aluminium sont entre autres
par exemple des Colorants

·        E173 l’aluminium même (coloration bleutée de l’eau). 

ou encore des Anti-Coagulants

·        E520, E521, E522, E523: (la famille des sulfates d’aluminium: blancs d'oeufs des préparations culinaires, fruits et légumes confits et cristallisés..) 

·        E541 (génoiseries), 

·        E554, E555, E556, E559 : Phosphates et Silicates d’Aluminium (utilisés dans les denrées séchées en poudre : potage, purée.., le sel raffiné et le fromages industriels, les laits en poudre bien que connus pour agresser le placenta pendant la grossesse) 

A/ Surdosage Massif 

25 vaccins couramment utilisés en France, vaccins obligatoires comme ceux contre la diphtérie, tétanos, polio, ou facultatifs comme ceux contre les hépatites A et B, font appel à l’aluminium sous forme de phosphate, sulfate ou encore d’hydroxyde à des doses de 50 à 80 fois supérieures aux doses admises par les instances européennes (15µg/l) 

B/ Myofasciite, SFC, SEP, etc.. 

Une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages (MFM) liée à l’aluminium vaccinal, a été isolée en 1998. Malgré une sous-notification certainement très importante,  plus de 150 cas  ont été identifiés officiellement en France - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Se manifestant essentiellement pas des douleurs articulaires et neuro-musculaires ainsi que de la fatigue chronique – comme les syndromes du Golfe  (plus de 1000 cas) et des Balkans - et de la SFC (100 à 200 cas pour 100 000) ou les fibromyalgies (plus de 500 000 personnes en France), voire les diverses myosites, la MFM est caractérisée histologiquement par la découverte d’aluminium au point d’injection en moyenne trois ans après l’administration du vaccin (et parfois plus de huit ans). Dans un tiers des cas, la maladie s’accompagne d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques (1/3 des patients). 

Le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la MFM » Ce lien irréfutable a été reconnu par les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que par la branche vaccin de l’OMS. 
Dans une interview accordée au magazine Alternative Santé-L’impatient en Avril 2001, le Pr. Gherardi a dit à ce sujet : 

« Cela nous a pris un an et demi. Résultat : tous les malades de notre série ont un antécédent vaccinal certain. Sur 50 malades à l'époque (150 aujourd'hui), 85 % ont reçu au moins le vaccin hépatite B avec d'autres vaccins le plus souvent, les autres ayant été vaccinés principalement avec le vaccin contre le tétanos. Cette étude rétrospective nous a révélé une nouvelle surprise : le délai moyen entre la vaccination et la biopsie était de trois ans, et dans certains cas atteignait huit ans. » (1) 

C/ Cancers au Point d'Injection Vaccinal

On observe avec une fréquence croissante des cancers chez les animaux domestiques, de préférence au point d’injection des vaccins qui font également appel à l’hydroxyde d’aluminium. Pas moins d’une quarantaine de publications scientifiques abordent ce sujet (1) 
Les tumeurs sont généralement décrites dans les revues médicales comme sarcomes félins post-vaccinaux, sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l'emplacement de la vaccination. Ultérieurement, l'augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates de vaccination, les points d’injection et l’occurrence des tumeurs. La présence de granulations comportant de l’aluminium, faisant craindre l’apparition de complications comparables chez l’homme

Il est maintenant formellement établi scientifiquement que l’aluminium présent dans les vaccins peut déclencher - en moyenne 3 ans après l’injection, avec un délai maximum de 8 ans – une myofasciite à macrophages qui est associée dans 30 % des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques. 

Le dommage causé par l’aluminium présent dans la majorité des vaccins  « établit une absence de sécurité de ces vaccins à laquelle les utilisateurs pouvaient légitimement s'attendre et démontre la défectuosité de ces produits. » 

comme l’a reconnu la Cour d’appel de Versailles pour le vaccin hépatite B par rapport à la sclérose en plaques. 

 D/ Vaccins moins dangereux : pourquoi faire?

Il y a près de vingt ans, alors que l’on connaissait déjà la toxicité de l’aluminium, les chercheurs de Pasteur avaient mis au point un adjuvant à base de phosphate de calcium. Mais lorsque Mérieux racheta Pasteur-Vaccins, les vaccins à base de phosphate de calcium furent mis aux oubliettes. Il est permis de se demander pourquoi, car, la toxicité  du Thimérosal paraît évidente et celle de l’hydroxyde d’aluminium certaine, faisant craindre l’émergence de maladies comparables à celles qui sont observées chez les animaux domestiques avec un pronostic autrement plus sombre que pour la myofasciite à macrophages.. 

==================================

http://www.webencyclo.com/infosdeco/gabaritE.asp?IDNews=645

Sachant que les sels d’aluminium sont utilisés comme adjuvant dans de nombreux vaccins, des études sont lancées pour mettre en évidence l’existence ou non d’un lien entre les vaccins et la myofasciite à macrophage. Une étude récente menée par l’Institut de veille sanitaire révèle que 94 % à 100 % des patients atteints par cette maladie ont subi une injection d’un vaccin contenant des sels d’aluminium dans les dix années précédant l’apparition de la maladie. L’innocuité des vaccins à sels d’aluminium se voit donc remise en cause.

   
Les vaccins contenant des sels d’aluminium sont les vaccins contre le tétanos, les hépatites A et B, la diphtérie, la poliomyélite et la coqueluche.
Cependant, les risques sont minimes si l’on revient à un mode de vaccination cutanée, ce qui permet à l’organisme d’éliminer rapidement les sels d’aluminium.

     

Pourquoi cette maladie n’apparaît-elle que maintenant ?

 

     
Cette maladie semble provoquée par l’injection de sels d’aluminium. Or ces adjuvants sont présents depuis 1923 dans les vaccins.
Pour expliquer l’apparition de la myofasciite, il faut ajouter à cela une nouvelle pratique : la vaccination intramusculaire, qui, depuis 5 ans, a progressivement remplacé la vaccination cutanée.