Alerte aux vaccins L'aluminium accusé
Un nouvel adjuvant dans les vaccins : l'hydroxyde d'aluminium. Une nouvelle pratique : la vaccination intramusculaire remplaçant la piqûre sous-cutanée. Résultat : une nouvelle maladie musculaire handicapante apparaît.
En
fait, il semble bien que la présence dans " ce groupe de scientifiques "
de représentants des laboratoires pharmaceutiques ait fait traîner les décisions
par un lobbying efficace. Ceux-ci n'ont pas intérêt à ce que la toxicité
de l'hydroxyde d'aluminium soit officiellement reconnue. Une interdiction
occasionnerait des millions d'euros de pertes pour les grandes firmes pharmaceutiques
obligées de trouver un nouvel d'adjuvant. En attendant les conclusions des
études, il est urgent de revenir à un mode de vaccination sous-cutané, geste
simple et immédiatement applicable.
http://www.pharmacorama.com/ezine/lupourvous3.php
L'hydroxyde d'aluminium est
utilisé dans de très nombreux vaccins comme adsorbant et adjuvant de l'immunité
(voir Aluminium).
La non-innocuité de ce type de préparation a été évoquée par le passé mais sans
argument véritablement convaincant.
Selon des publications très récentes l'association
vaccin-hydroxyde d'aluminium est susceptible de provoquer chez certains
individus des réactions immunitaires avec des troubles musculaires ou
neurologiques durables.
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http://www.alain-scohy.com/SCOHY_poison-alu.htm
Les VACCINS... La plupart contiennent 1250
micro grammes d'hydroxyde d'aluminium (une des formes chimiques les plus
toxiques) par dose, soit plus de dix fois la dose toxique, en tant qu'ADJUVANT
de l'IMMUNITE
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Aluminium et santé
Si l'on se réfère à la quantité quotidienne d'aluminium ingérée,
c'est-à-dire 10 à 12 milligrammes/jour, près de 60 % sont apportés par les
aliments naturels ; l'autre partie des apports est représentée par les additifs
alimentaires dont l'utilisation est acceptée par les autorités compétentes…La
position de l'OMS est issue de la réunion de 16 experts, en avril 1995 à
Brisbane (Australie). Trois mois plus tard, 71 experts venus de 16 pays
différents se réunissaient à Vancouver (Canada) autour du même thème. Voici des
extraits des conclusions consensuelles de cette réunion, dont l'intégralité des
actes a été publiée dans la revue de référence Journal of Toxicology and
Environmental Health (vol. 48, n¡ 6, 30/8/1996) : « Une large variété d'effets
toxiques de l'aluminium a été démontrée chez les plantes, les animaux
aquatiques, dans les expériences animales par diverses voies d'exposition, et
dans différentes conditions cliniques chez l'homme. L'aluminium est un très
puissant neurotoxique. Des troubles neurocognitifs et psychomoteurs ont été
rapportées à des taux plasmatiques d'aluminium aussi bas que 50
microgrammes/litre. Bien qu'il subsiste de nombreuses questions sans réponse,
il existe de fortes indications que l'aluminium pourrait être l'un des facteurs
de la maladie d'Alzheimer et peut-être même d'autres troubles neurodégénératifs
dont la sclérose amyotrophique latérale.
http://didier.douchet.free.fr/MyofasciiteEnHTML.htm
La myofasciite à macrophages a été récemmentdécouverte par des médecins français.
Elle fait partie des maladies rares.
L'élément fauteur de troubles se trouve être l'aluminium ou plus exactement l'hydroxyde d'aluminium. Celui-ci se dépose sur le deltoïde gauche. Les macrophages jouent leurs rôles de nettoyeurs mais ne peuvent éliminer ce corps étranger. La réaction de cette défense sécrètent une substance qui s'attaque aux muscles, ce qui crée une inflammation musculaire. Cette substance s'appelle cytokine.
La cytokine est diffusée par le sang ; on comprend mieux alors la raison pour laquelle les muscles du corps sont atteints.
D'après les dernières recherches, les probabilités que cela soit dû aux vaccinations contre les hépatites virales A et B sont très importantes, ainsi que d'autres vaccins avec de l'hydroxyde d'aluminium. En fait, dans ces vaccins l'hydroxyde d'aluminium est utilisé comme adjuvant pour accélérer leurs effets. Seulement, cela n'explique pas tout, car toutes les personnes vaccinées avec ces différents produits ne sont pas atteintes par la myofasciite à macrophages. Il reste encore des facteurs inconnus, probablement des prédispositions immunologiques.
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Vaccins contenant des sels d’aluminium :
ATTENTION : Il est important de savoir que chez les malades de Myofasciite à Macrophages, l'aluminium du vaccin ne circule pas dans le sang, mais reste dans le muscle à l’endroit de l’injection.
VACCINS COMMERCIALISÉS
AVAXIM vaccin inactivé contre l'hépatite A suspension injectable (IM)
D.T.COQ suspension injectable
DIFTAVAX ADULTE vaccin diphtérique et tétanique absorbé suspension injectable
DTCP PASTEUR suspension injectable IM
ENGERIX B 10 ENF-NOUR vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM
ENGERIX B 20 ADULTES vaccin contre l'hépatite B suspension injectable IM
GENHEVAC B PASTEUR suspension injectable IM
HAVRIX ADULTES 1440 U/1 ml suspension injectable IM
HAVRIX ENF-NOUR 720 U/0.5 ml suspension injectable IM
HB-VAX DNA 10 microgrammes/1 ml suspension injectable (IM)
HB-VAX DNA 40 microgrammes/1 ml suspension injectable (Hôp)
HB-VAX DNA 5 microgrammes/ 0.5 ml suspension injectable (IM)
INFANRIX Polio ENF suspension injectable (IM) en seringue pré-remplie
INFANRIX Polio Hib NOUR poudre et suspension pour suspension injectable (IM)
PENTACOQ poudre et suspension pour suspension injectable IM
PENTAVAC pdre et susp pr susp injectable en ser pré-remplie
PENTHIBest poudre et suspension pour suspension injectable IM
REVAXIS suspension injectable
TETANIQUE PASTEUR suspension injectable
TETAVAX suspension injectable
TETRACOQ suspension injectable IM
TETRAVAC ACELLULAIRE suspension injectable en seringue préremplie
TICOVAC 2.7 microg suspension injectable en seringue préremplie vaccin de l'encéphalite à tiques, adsorbé
TWINRIX ADULTE 720/20 suspension injectable en seringue pré-remplie
TWINRIX ENFANT 360/10 suspension injectable en seringue pré-remplie
VAXICOQ suspension injectable, vaccin coquelucheux adsorbé sur hydroxyde d'aluminium
VACCINS DONT LA COMMERCIALISATION EST ARRÊTÉE
D.T.VAX solution injectable
DT PASTEUR sol inj
HAVRIX 720 UI/1 ml suspension injectable IM
HAVRIX ENF- NOUR 360 U/0.5 ml susp inj IM
HEVAC B PASTEUR susp inj
PENTACOQ lyoph. et susp. pour susp. inj. en ser. prér. Bicompartimentée
PENTHIBest lyoph. et susp. pour suspension inj
TETAVAX suspension inj.
Vaccins sans aluminium :
Pour ce qui est de la méningite à Méningocoques, il existe un vaccin qui protège contre deux sérotypes (A et C) qui s'appelle "vaccin Ménigococcique polyosidique A+C Pasteur" et ne contient pas d'aluminium. Par contre le "Méningitec", qui ne protège que contre le sérotype C (et a été utilisé dans le Puy-de-Dome il y a quelques mois) contient de l'hydroxyde d'aluminium.
Pour le Tétanos, si on veut éviter l'aluminium, il faut utiliser le vaccin TP Pasteur (Tétanos Polio) ou le DTP Pasteur (Diphtérie Tétanos Polio). Par contre le vaccin Tétanos Pasteur seul contient de l'aluminium.
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http://biogassendi.ifrance.com/biogassendi/alualz.htm
Mais, si des fortes doses
provoquent des encéphalopathies aluminiques, de récentes études
neurobiologiques laissent à penser que certaines maladies du cerveau de type
Alzheimer seraient au moins favorisées par l’ingestion chronique de petites
doses d’aluminium.
Or l’Aluminium est omniprésent dans notre vie
quotidienne de la forme la plus inoffensive et normale, à la plus sournoise et
dangereuse (on en trouve dans certaines protheses dentaires notamment), dans les
traitements de l’eau du robinet, dans ceux des produits alimentaires, mais
aussi ceux des produits d’hygiène, sans oublier les produits médicamenteux les
plus courants (contre les maux d’estomac, les maux de tete), etc.. et
même dans le filtre de la derniere cigarette ...
…Ainsi, s’accumulant dans le
cortex et l’hippocampe, l’aluminium induirait la nécrose progressive des
astrocytes du système nerveux central…
La maladie d’Alzheimer est l’une des plus fréquentes
démences dégénératives primaires dans le monde developpé et une cause
prépondérante de décès. En France, 150 à 300 000 personnes de plus de 65 ans
souffrent de la maladie d’Alzheimer et les sujets atteints sont de plus en plus
jeunes.
Les cellules du cerveau des patients atteints
d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale.
D’après une note ministérielle d’octobre 1998 :
« Tout un faisceau de données expérimentales plaide en faveur d’une intervention de l’aluminium dans le développement des lésions cérébrales caractéristiques des maladies dégénratives du système nerveux comme les DSTA (Démences Seniles de Type Alzheimer), même si l’on ne connait pas l’importance spécifique de ce facteur par rapport aux facteurs génétiques, nutritionnels ou immunologiques ou son éventuelle action synergique »
Après 40 ans d’études
contradictoires, l’aluminium paraît être indéniablement impliqué dans la
maladie d’Alzheimer. Une récente étude comparative portant sur
l’alimentation par perfusion de prématurés a en effet révélé des altérations du
développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois, dont les perfusions
contenaient de l’aluminium.
4. ALUMINIUM ET AUTRES TROUBLES NEUROLOGIQUES
Les foyers de nécrose observés dans la maladie
d’Alzheimer et imputables à des taux élévés d’aluminium dans certaines régions
du cerveau, présentent des analogies flagrantes avec ceux de diverses
pathologies neurocérébrales comme
la myofasciite à macrophages, pathologie d’émergence récente (voir aluminium vaccinal)
la maladie de Parkinson
la
maladie de Lou Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA)
Une incidence anormalement élevée de ces
maladies chez des populations indigènes de Guam et de Nouvelle-Guinée suggère
qu’il pourrait y avoir une corrélation entre ces maladies et les conditions
environnementales qui prévalent, notamment des taux élevés d’aluminium et
des taux faibles de calcium et de magnésium dans le sol et les aliments.
voire les maladies à prion type Creutzfeld-Jakob (voir « ces folles maladies »)
5. AUTRES PATHOLOGIES LIEES A L’ALUMINIUM
Si la lente intoxication à l’aluminium conduit donc à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de memoire, à l’epilepsie, on a également deja démontré sa responsabilité dans le psoriasis, et les insuffisances hepato-renales chroniques, l’anémie, l’osteomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose, et les arrêts cardiaques chez les humains..
INTRODUCTION: UNE INTOXICATION PERMANENTE Bien que la Direction Générale de la Santé n’en ait
communiqué aucun bilan officiel, la plupart des experts ont acquis la conviction
que l’épidémie d’encéphalopathie, une forme progressive de démence
caractérisée par tremblements, convulsions, psychose et autres changements
cognitifs -parole et comportement-, qui, dans les années 70, a décimé les
insuffisants rénaux, avait pour origine la forte teneur en aluminium de l’eau
de dialyse et des médicaments. I- THERAPEUTIQUE ALUMINIQUE L'Aluminium a en effet démontré son utilité dans le
cadre d'un suivi médical strict et raisonné. C’est pourquoi cet oligo-élément est intéressant dans le traitement des déficiences intellectuelles de l'enfant, en cas de surmenage ou d'atonie cérébrale, et aussi pour lutter contre les troubles du sommeil. Il peut aussi constituer un auxiliaire efficace de la thérapeutique des mongoliens. Le docteur Henry Picard qui est à l'origine de
l'expérimentation clinique de l'Aluminium catalytique, a démontré que
l'aluminium catalytique L'aluminium (présent notamment dans l’argile sous forme de silicate d’alumine) illustre ainsi parfaitement le fait qu'un même element peut engendrer des effets contraires selon la forme chimique et le dosage utilisé... II- INGESTION CHRONIQUE NEUROTOXIQUE Ainsi, si la prescription, bien dosée, de l’oligo-élément Aluminium ne produit que des avantages, de l'Aluminium ingéré en longue durée ou reçu par les insuffisants rénaux au cours de la dialyse, expose à une intoxication larvée et dangereuse.. 1. L’ALUMINIUM SE FIXE DANS LE CERVEAU ... Si on retrouve 90% de l’aluminium ingéré dans les os, les muscles et les poumons, un mécanisme encore mal élucidé – qui utiliserait un acide aminé, le glutamate (1) et une protéine du sang chargée de distribuer le fer, la transferrine- permettrait à une partie du métal de franchir la barrière hémato-encéphalique. « La concentration d’aluminium dans le cerveau était plus importante chez les rats que nous avions volontairement carencés en fer » (P.V den Bosch) 2. ..ET ACCELERE SON VIEILLISSEMENT Des expériences ont montré que des cellules neuronales
soumises in vitro à un excès d'aluminium subissent une baisse de l'activité
enzymatique acétyl-cholinestérase, une diminution de l'acide ribonucléique,
déficit accompagné d'une augmentation de la synthèse protéique caractérisée
par la formation de filaments non fonctionnels dans les neurones.
« Pendant 6 mois, nous avons fait consommer de l’aluminium à des rats. Puis en étudiant leur comportement dans un labyrinthe, nous avons constaté qu’ils mettaient deux fois plus de temps pour retrouver leur chemin que leurs congénères non chargés en aluminium. » (2) Suivant Lapresle et ses collaborateurs (3), s'il n'est pas mis un terme à l'intoxication, des cas de démences avec myoclonie (secousses brusques par contractions musculaires involontaires) peuvent se produire, trouble associé au syndrome cérébelleux. Ce syndrome, qui affecte le cervelet, donne lieu à une incoordination motrice et à une démarche titubante, par suite du trouble de l'équilibre déterminé par les lésions. Il faut donc être prudent à l'endroit de l'aluminium.. 3. DES ANALOGIES AVEC LA MALADIE D’ALZHEIMER La maladie d’Alzheimer est l’une des plus fréquentes
démences dégénératives primaires dans le monde developpé et une cause
prépondérante de décès. En France, 150 à 300 000 personnes de plus de 65 ans
souffrent de la maladie d’Alzheimer et les sujets atteints sont de plus en
plus jeunes. « Tout un faisceau de données expérimentales plaide en faveur d’une intervention de l’aluminium dans le développement des lésions cérébrales caractéristiques des maladies dégénratives du système nerveux comme les DSTA (Démences Seniles de Type Alzheimer), même si l’on ne connait pas l’importance spécifique de ce facteur par rapport aux facteurs génétiques, nutritionnels ou immunologiques ou son éventuelle action synergique » Après 40 ans d’études contradictoires, l’aluminium paraît être indéniablement impliqué dans la maladie d’Alzheimer. Une récente étude comparative portant sur l’alimentation par perfusion de prématurés a en effet révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois, dont les perfusions contenaient de l’aluminium. . -BISHOP
N. J. and al. : « Aluminium neurotoxicity in preterm infants receiving
intraveinous-feeding solutions », in
The New England Journal of Medicine, t.336 (22), p.1557-1561 ; 1997). -CRAPPER MC et col. «
Intramuscular dysferrioxamine in patients with Alzheimer disease » Lancet
1991-337-1304 , 1308 -HARRINGTON CR et col. « Alzheimer’s disease-like changes.. » Lancet 1994-343-993, 7 -GARRUTO et BROWN « Tau protein, aluminium and Alzheimer’s disease, » Lancet 1994-343-989 4. ALUMINIUM ET AUTRES TROUBLES NEUROLOGIQUES Les foyers de nécrose observés dans la maladie
d’Alzheimer et imputables à des taux élévés d’aluminium dans certaines
régions du cerveau, présentent des analogies flagrantes avec ceux de diverses
pathologies neurocérébrales comme · la myofasciite à macrophages, pathologie d’émergence récente (voir aluminium vaccinal) · la maladie de Parkinson ·
la maladie de Lou
Gehrig (sclérose latérale amyotrophique ou SLA) · voire les maladies à prion type Creutzfeld-Jakob (voir « ces folles maladies ») 5. AUTRES PATHOLOGIES LIEES A L’ALUMINIUM Si la lente intoxication à l’aluminium conduit donc à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de memoire, à l’epilepsie, on a également deja démontré sa responsabilité dans le psoriasis, et les insuffisances hepato-renales chroniques, l’anémie, l’osteomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose, et les arrêts cardiaques chez les humains.. III. USAGE DOMESTIQUE 1. ADDITIFS ALIMENTAIRES La couverture des besoins quotidiens en aluminium est
assurée par une alimentation salubre et équilibrée. Les aliments contiennent
en moyenne moins de 5mg/kg d'aluminium (coquillages, vegetaux, etc..) et on
en trouve les teneurs les plus interessantes dans les algues, la levure
alimentaire et la pomme. · desserts et boissons, · fruits confits, · produits laitiers, · lait maternisé industriel, · préparations à base de blanc d’oeuf, · grains et les produits céréaliers, · sel blanc de table traité au silicate d'aluminium, · agents de blanchiment pour traiter la farine, · certains fromages fondus contenant de l'aluminium comme émulsifiant (fromages en boite) etc... Les additifs parmi les plus courants à base d’aluminium
sont entre autres · E173 l’aluminium même (coloration bleutée de l’eau). ou encore des Anti-Coagulants : · E520, E521, E522, E523: (la famille des sulfates d’aluminium: blancs d'oeufs des préparations culinaires, fruits et légumes confits et cristallisés..) · E541 (génoiseries), ·
E554, E555, E556,
E559 : Phosphates et Silicates d’Aluminium (utilisés dans les denrées
séchées en poudre : potage, purée.., le sel raffiné et le fromages
industriels, les laits en poudre bien que connus pour agresser le
placenta pendant la grossesse) |
A/ Surdosage Massif
25 vaccins couramment utilisés en France, vaccins obligatoires comme ceux contre la diphtérie, tétanos, polio, ou facultatifs comme ceux contre les hépatites A et B, font appel à l’aluminium sous forme de phosphate, sulfate ou encore d’hydroxyde à des doses de 50 à 80 fois supérieures aux doses admises par les instances européennes (15µg/l)
B/ Myofasciite, SFC, SEP, etc..
Une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages (MFM) liée à l’aluminium vaccinal, a été isolée en 1998. Malgré une sous-notification certainement très importante, plus de 150 cas ont été identifiés officiellement en France - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Se manifestant essentiellement pas des douleurs articulaires et neuro-musculaires ainsi que de la fatigue chronique – comme les syndromes du Golfe (plus de 1000 cas) et des Balkans - et de la SFC (100 à 200 cas pour 100 000) ou les fibromyalgies (plus de 500 000 personnes en France), voire les diverses myosites, la MFM est caractérisée histologiquement par la découverte d’aluminium au point d’injection en moyenne trois ans après l’administration du vaccin (et parfois plus de huit ans). Dans un tiers des cas, la maladie s’accompagne d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques (1/3 des patients).
Le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de
l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration
d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion
histologique caractérisant la MFM » Ce lien irréfutable a été reconnu par
les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que par la
branche vaccin de l’OMS.
Dans une interview accordée au magazine Alternative
Santé-L’impatient en Avril 2001, le Pr. Gherardi a dit à ce sujet :
« Cela nous a pris un an et demi. Résultat : tous les malades de notre série ont un antécédent vaccinal certain. Sur 50 malades à l'époque (150 aujourd'hui), 85 % ont reçu au moins le vaccin hépatite B avec d'autres vaccins le plus souvent, les autres ayant été vaccinés principalement avec le vaccin contre le tétanos. Cette étude rétrospective nous a révélé une nouvelle surprise : le délai moyen entre la vaccination et la biopsie était de trois ans, et dans certains cas atteignait huit ans. » (1)
C/ Cancers au Point d'Injection Vaccinal
On observe avec une fréquence croissante des cancers chez
les animaux domestiques, de préférence au point d’injection des vaccins qui
font également appel à l’hydroxyde d’aluminium. Pas moins d’une quarantaine de
publications scientifiques abordent ce sujet (1)
Les tumeurs sont généralement décrites dans les
revues médicales comme sarcomes félins post-vaccinaux, sarcomes dus aux
vaccins, ou sarcomes à l'emplacement de la vaccination. Ultérieurement,
l'augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points
d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates
de vaccination, les points d’injection et l’occurrence des tumeurs. La présence
de granulations comportant de l’aluminium, faisant craindre l’apparition de
complications comparables chez l’homme.
Il est maintenant formellement établi scientifiquement que l’aluminium présent dans les vaccins peut déclencher - en moyenne 3 ans après l’injection, avec un délai maximum de 8 ans – une myofasciite à macrophages qui est associée dans 30 % des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques.
Le dommage causé par l’aluminium présent dans la majorité des vaccins « établit une absence de sécurité de ces vaccins à laquelle les utilisateurs pouvaient légitimement s'attendre et démontre la défectuosité de ces produits. »
comme l’a reconnu la Cour d’appel de Versailles pour le vaccin hépatite B par rapport à la sclérose en plaques.
D/ Vaccins moins dangereux : pourquoi faire?
Il y a près de vingt ans, alors que l’on connaissait déjà la toxicité de l’aluminium, les chercheurs de Pasteur avaient mis au point un adjuvant à base de phosphate de calcium. Mais lorsque Mérieux racheta Pasteur-Vaccins, les vaccins à base de phosphate de calcium furent mis aux oubliettes. Il est permis de se demander pourquoi, car, la toxicité du Thimérosal paraît évidente et celle de l’hydroxyde d’aluminium certaine, faisant craindre l’émergence de maladies comparables à celles qui sont observées chez les animaux domestiques avec un pronostic autrement plus sombre que pour la myofasciite à macrophages..
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http://www.webencyclo.com/infosdeco/gabaritE.asp?IDNews=645
Sachant que les sels d’aluminium sont utilisés comme adjuvant
dans de nombreux vaccins, des études sont lancées pour mettre en évidence
l’existence ou non d’un lien entre les vaccins et la myofasciite à macrophage.
Une étude récente menée par l’Institut de veille sanitaire révèle que 94 % à
100 % des patients atteints par cette maladie ont subi une injection d’un
vaccin contenant des sels d’aluminium dans les dix années précédant
l’apparition de la maladie. L’innocuité des vaccins à sels d’aluminium se voit
donc remise en cause.
Les vaccins
contenant des sels d’aluminium sont les vaccins contre le tétanos, les
hépatites A et B, la diphtérie, la poliomyélite et la coqueluche.
Cependant, les risques sont minimes si l’on revient à un mode de vaccination
cutanée, ce qui permet à l’organisme d’éliminer rapidement les sels
d’aluminium.
Pourquoi cette maladie n’apparaît-elle que maintenant ? |
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